En ces temps troublés où les donneurs de leçons abondent, il est entendu que le titre de cette page : « vivre sans manger les animaux » ne vaut pas injonction mais information. Laquelle s’adresse évidemment aux animaux humains omnivores ayant le choix de se nourrir comme ils le souhaitent. Oui, j’assume l’idée que la démarche végane n’a pas une portée messianique. Elle est strictement individuelle, fruit d’un processus intellectuel propre à chacun et tributaire des circonstances. Il est plus facile d’être végane sous le chaud soleil de la Jamaïque qu’en Sibérie ou en Alaska. Quant à la définition d’un monde « plus juste » envers les (autres) animaux, nous sommes nombreux à polémiquer sur ce vaste sujet mais le réel ne change pas. L’avaleur de côtelettes et de charcutaille à tous les repas, ne veut pas savoir que sa « gourmandise » conduit vers l’atrocité à échelle industrielle. L’antispéciste qui donne des croquettes végétales à « son » toutou, semble oublier que ce dernier est carnivore…On n’est pas sorti de l’auberge !
Partager :
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre) WhatsApp
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
- Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr