Aujourd’hui, réception dans la boite mail d’une bien belle lettre de Guy M. inspiré depuis toujours par Hélène, sa muse révoltée. Cette missive adressée à tous ses amis dont nous-mêmes, nous a fait grand plaisir tant elle est courageuse en cette période troublée où les faux-culs se comptent par millions. Avec la permission de l’auteur, je vous la livre telle quelle. N’hésitez pas à la partager si vous le souhaitez. L’ami Guy, retraité depuis quelques années déjà, « vacciné deux doses » comme on dit aujourd’hui, semble bien en avoir gros sur la patate ou plutôt sur le coeur car c’est une belle âme honnête et soucieuse d’équité. Il est parti se faire « vacciner » pour des raisons pratiques qui lui appartiennent tandis qu’à l’inverse, son épouse rebelle a refusé l’injection. Au final, le voilà s’interrogeant quelques mois plus tard et en colère contre la dégradation de la société ! Nos dirigeants tentent de semer la haine entre « vaccinés » et « non vaccinés » afin de cacher le désastre d’une fausse politique sanitaire, cette posture n’a qu’un temps. Trop liés à l’industrie pharmaceutique, leur avidité les perdra avec ces rappels sans fin et la volonté d’écraser les résistants à leur « mauvaise came ». Guy sait bien que ce n’est pas à cause de sa chère moitié non vaccinée qu’il devrait prendre sa troisième dose… et pourquoi pas la quatrième plus tard dixit Véran l’implacable. Les braves gens ne sont pas des couillons. Au sein de la population, les moins idéologues reconnaissent le cocufiage sans honte et disent stop ! Bref, voici la lettre de l’ami Guy !
Avec l’arrivée de cette nouvelle année 2022 je vous présente tous mes vœux de bonheur, prospérité, amour et… Santé !
A propos de santé, j’ai quelques pensées que je vous livre à la volée, dans un désir de confidence et de partage. Je vous les livre sans arrière-pensée, ni pour vous convaincre, ou vous culpabiliser, mais simplement pour alimenter votre propre réflexion et que vous partagiez mes doutes, mes interrogations, et que vous compreniez mon attitude face à la lutte contre le COVID, telle qu’elle est conduite aujourd’hui.
Un nouvel an se profile, sera-t-il porteur d’espoir ou va-t-il falloir encore faire preuve de patience ?
En tout cas, n’oubliez pas de préparer vos bras à de nouvelles injections de vaccins, dont la fréquence ne cesse de descendre, jusqu’à une périodicité qu’on pressent courte. Si vous êtes de ceux qui redoutez les piqûres, sachez que les dealers des Cévennes, ou leurs fidèles clients, ont acquis en la matière, une expérience qui au train où vont les choses, peut vous être très utile. L’addiction qui touche les camés, pouvant bientôt vous concerner, prenez garde à l’overdose, souvent fatale, on n’est jamais assez prudent…
Une fois que vous aurez reçu vos nouvelles doses de Pfizer ou Moderna, conservez précieusement votre QR code qui ne vous servira à rien mais qui vous permettra au moins de stigmatiser un peu plus ces imbéciles de non vaccinés, qui servent de boucs émissaires à nos gouvernants, pour nous expliquer que si on en est là, c’est de leur faute.
S’il n’y avait pas ces irréductibles gaulois, résistant aux doses vaccinales étrangères, comment feraient-ils pour justifier l’arrivée de cette dernière vague de contaminations qui déferle sur le pays ? D’autant qu’en Espagne et au Portugal, pays les plus « piqués », le COVID s’étend à la vitesse de l’éclair. Cherchez l’erreur ?
Et nos politiques n’ont de cesse de montrer du doigt les derniers résistants de la vaccination. A toutes les époques de notre histoire, on a recherché des groupes de responsables pour tous les maux qui traversent le territoire. C’est ainsi depuis la nuit des temps, l’histoire bégaye !…
Après nous avoir servi :
–l’inutilité des masques, puis nous les avoir imposés,
–le confinement, puis nous révéler que c’est en famille qu’on s’infecte le plus,
–avoir fermé les restaurants, mais laisser le métro circuler avec ses usagers blottis comme dans une boite de sardines…
Bref, après moult atermoiements, il a été affirmé que la vaccination allait mettre fin à la pandémie. Normal me direz-vous, toutes les grandes maladies ont été éradiquées par un vaccin, c’est incontestable. Comment a–t-on éradiqué la poliomyélite, la typhoïde, la tuberculose et beaucoup d’autres, si ce n’est par le vaccin !?
Le problème, c’est que les vaccins destinés au COVID (Pfizer, Moderna… etc…), ont un point commun fort embêtant : « ils ne protègent personne » ! Ni le vacciné, ni ceux qu’il côtoie, tout au plus, il atténue (rait) la contagion !
Pas si sûr, si l’on retourne voir ce qui se passe à l’étranger. Les pays en voie de développement, où la vaccination est loin d’atteindre les standards d’injection des pays industrialisés, ont beaucoup moins de malades et de décès que nous ! Comprenne qui pourra !
N’oublions pas que ce vaccin est encore en phase 3, ce qui signifie en clair, qu’il ne devrait pas être inoculé, il ne devrait pas être en circulation. C’est la première fois qu’un tel risque est pris dans l’histoire de la pharmacopée ! L’urgence, me répondrez-vous. Laquelle ? Celle des firmes pharmaceutiques impatientes de rentabiliser leur produit, qu’elles ont eu un mal fou à sortir avant leurs concurrentes, ou celle des service hospitaliers qui en sous équipement redoutent l’embouteillage des services de réanimations, et espèrent qu’au moins, le vaccin réduira le nombre de cas graves ? Mais qui peut le dire, avec le peu de recul qu’on a sur la maladie ?
Mais rassurons-nous, le vaccin n’est pas inutile pour tout le monde. Les grandes firmes pharmaceutiques peuvent s’en mettre plein les poches, créer de l’emploi et participer aux bonnes œuvres de nos politiques.
D’autant que les bandeaux publicitaires, qui préconisent la vaccination et qu’on matraque à la télé, ne leur ont pas couté cher, puisque diffusés par le Ministère de la santé ! Et ils se succèdent, avec leur message stressant et culpabilisant à heure de grande écoute.
Ces empires pharmaceutiques qui amassent les milliards, ignorent ceux qui ne peuvent se le payer : Les pays émergeants. Pourtant, on sait pertinemment que pour parvenir à éradiquer une pandémie, seules des mesures à l’échelle mondiale, peuvent se montrer efficaces (voir polio…etc…). Ah ! pognon ! Quand tu nous tiens !!! Heureusement, on vient de le voir, ces pays ne connaissent pas l’hécatombe qu’on pouvait redouter : D’ici qu’un jour, un infectiologue farfelu découvre que l’hydroxychloroquine est à l’origine de leur relative immunité ! Mais non je plaisante, tout le monde sait bien que ce médicament est hyper dangereux, qu’il provoque des décès en nombre, dixit nos scientifiques impartiaux, qui trempent tous dans des conflits d’intérêt, et ne devraient donc pas être juge et partie. Ce médicament soudain devenu dangereux, a été utilisé pendant des décennies, pour d’autres pathologies (entre autres la malaria…) des millions de fois, sans jamais provoquer de morts, ni d’ailleurs de levée de bouclier de l’OMS ou d’autres organismes scientifiques ! Comble du comble : Non seulement on le décrédibilise, mais on l’interdit. Il ne faudrait pas qu’il concurrence les vaccins, beaucoup plus rentables !!!
L’inefficacité originelle de ce vaccin, ses concepteurs en ont fait un atout. Il suffit de préconiser des rappels en cascade, devant le réactiver, pour expliquer que ses effets bénéfiques ne pourront être pleinement actifs que si on accepte d’y repasser régulièrement. Par ici la bonne soupe…
Il comporte aussi, pour compléter le tableau, un effet pervers : Avec le sentiment de sécurité qu’il procure, (et que l’on a garanti aux potentiels vaccinés pour les convaincre d’y passer), il induit des comportements à risque chez certains vaccinés, qui leur ôte toute retenue, les désinhibe de toute peur, et les pousse, se pensant à l’abri, à relâcher les gestes barrières. Ainsi, les vaccinés, même moins contagieux ( ?), propagent inconsciemment le virus autour d’eux, en toute impunité et sans mauvaise conscience !
Alors, pour éviter ce rebond inattendu, tout le monde reste soumis aux gestes barrière pour accéder à toutes sortes de lieux publics. Tous ceux qui ont eu recours au vaccin pour retrouver leur liberté d’aller et venir sont cocufiés, de véritables dindons de la farce !
Mais chut !…. Il ne faut pas parler de son manque d’efficacité, ça pourrait éveiller les soupçons du brave peuple qui vit dans la peur et pourrait demander des comptes s’il doutait de son efficacité ! Les opposants sont muselés, absents des médias, pour ne pas contaminer de leurs thèses scélérates, les citoyens lambdas qui attendent la panacée. La populace soumise, qui se presse en rang serré (oui, je sais , c’est pas bien), pour présenter ses avant-bras aux picadors de service, doit être convaincue. Ainsi, les descendants des Révolutionnaires de 1789 ne sortent plus dans la rue pour manifester à la moindre occasion : C’est du jamais vu !… Les français, qui se targuent d’être le peuple du pays des Libertés et des Droits de l’homme, en sont réduits à jouer les nord-coréens ou les chinois, le petit doigt sur la couture du pantalon ! Même les dragons du roi en Cévennes durant les guerres de religion, ou l’occupant teuton plus récemment, n’avaient pas réussi pareil endormissement collectif !!! La propagande et surtout « la peur », seraient-elles plus efficaces que la force ?
Qui a dit que le plus jeune Président de la République dont la France s’est dotée, manquait d’expérience ? Avec l’aide de son Comité scientifique que personne ne voit ni ne connait, (sauf le triste Pr Delfraissy, le comptable des morts au début de la pandémie), il mène son peuple, réputé indiscipliné, par le bout du nez, réussissant même le prodige de museler l’opposition qui n’ose pas contester des mesures qui s’appuient sur des données habillées d’incertitudes scientifiques. Les scientifiques ont pris le pouvoir, à moins que ce ne soit les politiques qui les aient mis dans leur poche pour pouvoir nous déposséder de nos libertés.
Enfin, pas tous les scientifiques, uniquement ceux qui ont accès à la télé et qu’on entend régulièrement sur les ondes des stations d’information continue (BFM…), qui ne doivent pas en revenir de tenir les gens dans leur main, par l’unique truchement de leurs connaissances pourtant incomplètes, quand elles ne sont pas carrément erronées. Les autres, ceux qui s’opposent à la pensée unique, car tous ne sont pas d’accord, sont taxés de « complotistes », et n’ont pas droit de cité aux heures de grande écoute. Personne ne songe à les qualifier du titre flatteur de « lanceur d’alerte ». Par contre, celui beaucoup moins flatteur de « complotiste », qui est dévolu aux illuminés, marginaux et autres olibrius, qui discrédite complètement, les suit, mais ne parvient pas à les détruire. Comme l’explique bien le Pr Perronne, qui dénonce des mesures qu’il qualifie d’inefficaces, voire scandaleuses, les choix faits en matière de santé publique ne résolvent rien. Et il ponctue ses démonstration en citant ses sources, qui émanent de scientifiques et autres chercheurs, afin qu’on puisse vérifier ses déclarations. Mais nous autres, pauvres citoyens lambdas, qui ne disposons pas de ses connaissances et de son prestige pour nous défendre, devons subir les sarcasmes de nos semblables, quand c’est pas de nos dirigeants ! Diviser pour régner, c’est pas nouveau, mais ça marche toujours. Le dénigrement de la pensée minoritaire ne connait plus de limite. J’aurais jamais pensé connaître de mon vivant une telle chasse aux sorcières, lancée contre quelques-uns de nos meilleurs spécialistes en infectiologie (Pr Christian Perronne, Pr Raoult, et d’autres chercheurs ou praticiens moins prestigieux…).
Pourtant, n’apprend-on pas que pour se faire une opinion, il faut connaitre tous les points de vue ? Dans n’importe quel pays au monde, quand les droits de la défense sont bafoués ne dit-on pas qu’il n’y a plus de liberté et de démocratie ? Alors pourquoi ne les laisse-t-on pas s’exprimer ? Ai-je besoin de répondre, inutile, la réponse est tellement évidente…
Et puis, comme les hôpitaux, qui sont à l’abandon depuis des lustres, ferment encore des lits, et qu’on renvoie les personnels soignants qui refusent de se vacciner, la crainte que les malades ne puissent pas être tous accueillis, inquiète ces mêmes gouvernants. Surtout pas de vague ! (sauf celles provoquées par le COVID). Mais, faisant fi des moyens insuffisants des hôpitaux, dont ils sont à l’origine depuis des décennies, ils persistent et signent en se passant des services des personnels qui refusent la vaccination. Oubliés les efforts rendus lors du premier confinement, leurs conditions de travail plus que précaires, sans suffisamment de masques, de blouses (remplacées par des sacs plastiques), de respirateurs et tout simplement de personnel qualifié. Comme reconnaissance pour service rendu, on repassera !
Quant aux gestes barrière dont on nous rabat les oreilles, les mêmes qui nous assènent leurs recommandations se sont TOUS retrouvés touchés par le Covid : Macron, Castex, Bachelot…. A se demander lesquels sont passés à travers. Du coup, mon petit esprit étroit, s’’interroge : Les règles qui s’appliquent normalement à tous connaitraient-elles des exceptions ? Y aurait-il des individus au-dessus des autres auxquels elles ne s’appliquent pas ? Ou bien, le « fais ce que je dis et pas ce que je fais » s’impose-t-il en la circonstance ? Je croyais jusque-là, aux devises de la République : Liberté, Egalité, Fraternité. Les aurait-on changé en quelques mois ?
Remarquez, je ne ferai aucun recours au Conseil Constitutionnel. Son Président, un nommé Fabius, est un as de la dissimulation : Rappelez-vous le triste épisode du sang contaminé, pour lequel il n’a même pas été puni, alors pourquoi condamnerait-il les autres ? Pour risquer un retour de bâton ? Malhonnête mais pas stupide ! Ce n’est pas cet aréopage de vieux routiers de la politique qui prendra le risque d’annuler le moindre dispositif gouvernemental. Tous ce gens nous jouent le fameux « je te tiens, tu me tiens par la barbichette…. »
C’est ainsi, que le Conseil Constitutionnel, ne joue pas son rôle de garant des institutions, qui est pourtant sa raison d’être, à fortiori quand les libertés sont attaquées. Cette assemblée de « sages » est devenue une sorte de Panthéon pour les politiques « has been » qui la composent. Ils y arrondissant leurs fins de mois, plus exactement, leur pauvre retraite de Président de la République, de ministre et autres fonctions républicaines qui ne leur suffisent pas. Cumulons, cumulons, et en même temps stigmatisons les SMICARDS qui pour arriver à la fin du mois, travaillent au black et passent pour des voleurs.
Ce n’est pas le truculent Professeur Raoult, éminent infectiologue, couvert de diplômes, de récompenses, adulé à l’étranger qui risque d’y siéger pendant sa retraite ! Lui, c’est aux tribunaux, aux commissions sénatoriales et autres conseillers de l’ordre des médecins qu’il doit fournir des explications. Les condamnations et mises en garde se succèdent, sans qu’aucune preuve tangible de manquements au serment d’Hypocrate ne soit apportée, ni qu’aucun des patients dont il a eu la charge, ne se soit jamais plaint de ses services ! Les seuls à se plaindre sont ses pairs, cherchez l’erreur !!!
Pourtant beaucoup de nos édiles ont eu recours à ses services, mais l’avouer serait suicidaire pour la suite de leur carrière. Pasteur, à l’origine des vrais vaccins, doit se sentit moins seul, lui aussi en son temps, a dû faire face à tous les scientifiques de son époque, qui le traitaient de charlatan ! Encore une fois l’histoire se répète, que ne l’apprend-on pas mieux, pour qu’elle serve d’exemple aux générations futures. La célèbre phrase de Georges Santayana, reprise par Churchill, devrait être apprise et expliquée dans toutes les écoles : « Un peuple qui oublie les leçons du passé, est condamné à les revivre. »
Mais, je m’égare et vous allez finir par croire que je minimise les effets du COVID… Ne croyez pas ça. C’est l’inverse, je pense au contraire que nous n’en avons pas fini avec cette histoire. L’épidémie s’éteindra d’elle-même, comme toutes les épidémies endémiques. Ce n’est pas l’action désordonnée des nations qui y mettra fin. L’observation de l’évolution des maladies infectieuses, nous apprend qu’elle s’éteignent d’elles-mêmes, (la Grippe espagnole est le meilleur exemple). Au fil du temps, leurs nombreux variants l’affaiblissent et, si un vaccin efficace n’est pas trouvé pour la circonscrire, elle disparait après quelques années de malfaisance.
Devant ces perspectives plus ou moins lointaines, soit on fait l’autruche, on courbe l’échine, on se plie à toutes sortes de contraintes liberticides, soit on décide de vivre le plus normalement possible en s’en accommodant de sa présence. Personnellement, je choisis la deuxième possibilité qui consiste à ne pas céder à la peur, aux consignes contradictoires, aux interdictions incompréhensibles. Prenons-nous en main, en faisant preuve de prudence et de bon sens. Messieurs les censeurs, arrêtez d’emmerder d’honnêtes citoyens, les restaurateurs, les discothèques, les commerces non essentiels ( !). Il est temps d’apprendre à vivre avec ce COVID, comme nous vivons avec le risque de terrorisme, ou de maladies beaucoup plus meurtrières. A-t-on fermé les bureaux de tabac pour éradiquer le cancer, a-t-on fermé les bars pour éradiquer l’alcoolisme, pourquoi deux poids deux mesure ? Si nous ne choisissons pas la vie au détriment de la mort sociale, alors d’autres dangers nous guettent : celui de tous finir en psychiatrie, ou celui de nous taper dessus, l’antagonisme entre les pour et les contre porté à son paroxysme par des dirigeants jouant les pyromanes ! Quelles perspectives !!!
Pour toutes ce raisons, et encore beaucoup d’autres, je crois aux dispositions de prudence (gestes barrière), pour continuer à avoir une vie sociale minimale. A contrario, respectons les choix individuels, en adoptant nos postures aux opinions de nos parents ou connaissances. Pas de visite chez des tiers sans y être invité, prudence extrême envers les personnes fragiles, celles très âgées, qui doivent elles, se protéger, en s’isolant si nécessaire. Tant que de vraies solutions, des mesures cohérentes ne sont pas prises, soyons vigilants pour le bien commun. Et puis acceptons la mort comme nous acceptons la vie. Cessons de faire croire à une immortalité prochaine. Cessons de jouer aux apprentis sorciers. Sans être un fanatique de l’écologie et du retour à la nature, retrouvons le sens de la mesure que tout le monde semble devoir perdre. Oui il faut se protéger, oui il y a eu trop de morts, mais combien de victimes du COVID seraient encore vivantes, même s’il n’avait pas existé ? Ne faut-il pas diviser le nombre de victimes par deux ou trois. Certains morts du Covid seraient certainement morts de la grippe, ou d’autres pathologies, comme chaque année, et ça ne choquerait personne ! Pourquoi le tragique compteur des victimes n’est-il pas agité pour les morts du cancer (plus de 600 000/an, de la drogue 90 000/an, grippe 10 000/an…etc…
J’ai fait les deux premières injections, je ne ferai pas les suivantes dans les conditions actuelles. Mais cela ne préjuge en rien les choix qui pourraient être les miens à l’avenir. On ne peut présumer de rien. Imaginons un vrai vaccin, avec une période d’essai probante, et des résultats efficaces, je serai le premier à vouloir y souscrire. Car, je ne suis pas antivaccin, je suis à jour de toutes mes vaccinations, y compris celui de la grippe. Mais devoir m’assoir sur autant de mensonges, d’incohérence, pour obtenir un « passe–sanitaire », qui va devenir « passe-vaccinal », je dis NON.
Encore une fois, mes raisons peuvent ne pas vous paraître cohérentes. Vous êtes libres de ne pas les partager. Je n’ai aucun titre scientifique, aucun mandat politique, aucune opinion philosophique ou morale qui étaye mes propos et soit susceptible de vous influencer. Encore une fois, ce n’est pas mon but. Mon intention est que vous compreniez ma démarche et que vous ne m’ostracisiez pas. Restez tel que vous êtes, mais il y a une chose que vous devez faire avant de subir sans broncher, c’est réfléchir, en confrontant TOUTES les opinions.
Une dernière recommandation à l’attention des jeunes générations. Je leur dis, profitez de la vie. Gardez votre soif de liberté, d’insouciance, qui vous permettront de retrouver la joie de vivre. Soyez bien entendu prudents avec vos anciens et les personnes fragiles, mais surtout : VIVEZ ! Le virus, hormis quelques rares cas de comorbidité connus, ne provoque jamais de risque vital pour vous.
Alors, messieurs qu’on nomme grands, laissez-les vivre, comme nous avons pu vivre. C’est à nous, les vieux et les personnes à risque de nous protéger. Si nous ne le faisons pas, nous sommes responsable de notre propre négligence, nous n’avons pas à leur renvoyer une quelconque responsabilité. Les obliger à se vacciner pour nous préserver, outre que c’est inefficace, peut hypothéquer leur avenir, car tout l’aréopage scientifique s’accorde à le reconnaitre, on ne connait pas les effets de ces substances sur le long terme. Nous, les vieux, qu’importent les effets dans dix, vingt ou trente ans, nous aurons tous disparus, pas eux. Alors, au moins pitié pour nos enfants.
Jeunes gens, vivez et amusez-vous la vie est trop brève et trop inattendue. Notre génération qui n’a connu ni guerre, ni chômage, ni le terrorisme, ni le réchauffement climatique, a vécu dans l’insouciance la plus totale, et après ça, nous aurions le culot de leur demander de se sacrifier pour nous ? !
Jamais je n’ai imposé à quelqu’un, ce que j’étais incapable de faire moi-même. Je ne vais pas commencer aujourd’hui, sous prétexte que je veux être protégé en m’attaquant à leur liberté !…
Déjà, on leur a légué : le SIDA, qu’arrive maintenant le COVID, en attendant demain d’autres difficultés. Jamais je ne pourrai reprocher à la jeunesse son désir de briser les chaines. Nous nous sommes révoltés (Mai 68) pour moins que ça ! J’ai perdu peut-être beaucoup de lucidité, mais pas encore la mémoire.
Au fait, je prends les paris qu’au mois d’avril prochain, il n’y aura aucun problème pour aller voter ! Nos politiques ont besoin de nous pour continuer à nous diriger à la baguette (à la piqûre). Et nous sommes assez stupides pour les reconduire. Pourtant les candidats sont nombreux, mais comble de malheur, seuls les extrémistes défendent les points de vue que je développe. J’en suis d’autant plus peiné, que je ne partage pas leurs autres idées. Savoir que j’ai le même point de vue qu’eux me désole. Devant un choix aussi peu attirant, il se pourrait que les futurs élus de la République ne le soient qu’avec un pourcentage ridicule de voix. Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse : Être élu, même avec quelques milliers de voix ne les fera pas se remettre en cause. Les nouveaux élus (si tel était le cas), ne manqueront pas de jeter la pierre à leurs prédécesseurs, pour s’affranchir de leurs propres insuffisances et le monde continuera d’aller mal.
Allez, je le vois bien, mes vœux ne ressemblent pas comme ils le devraient à des promesse de jours meilleurs. Pourtant il ne tient qu’à nous de changer les choses. S’il y a une prise de conscience collective, tout est possible. Réapprenons le gout des batailles, que nos ainés ont menés pour nous préparer un monde meilleur. Rien n’a été gagné par l’immobilisme et le renoncement. Alors je veux bien terminer par une note optimiste et vous souhaiter, puisque tout passe par là, de : RESISTER !
PS :
Pour vous faire votre propre opinion, et ne pas rester sur les informations officielles, jetez un coup d’œil à cette video. Certes c’est un peu long, mais ça vaut le détour… Je serai curieux de savoir ce que vous en pensez. Alors j’attends vos commentaires.
Pour aller sur la vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=HoGpvbXD0uI&t=146s