An I du coronavirus chinois

  • DECEMBRE/JANVIER/FEVRIER 2020

Les nouvelles qui nous parviennent de Chine, sont alarmantes : les gens tombent comme des mouches à cause d’un nouveau virus. Au vu des dispositions prises là-bas pour endiguer ce qui ressemble à une épidémie foudroyante, c’est très inquiétant. J’en parle un peu autour de moi mais tout le monde s’en moque. A ce moment de l’histoire en France, les futurs trouillards qui deux ou trois mois plus tard, s’angoisseront à l’idée d’approcher un voisin à moins d’un mètre, n’en ont cure. Le gouvernement est passif, les ventriloques des médias sont rassurants. Il n’y a donc aucune raison de s’y intéresser, ce serait assurément du conspirationnisme à reléguer au fond de la toile avec les histoires de reptiliens qui gouvernent le monde. Après tout, c’est loin la Chine ! Le coq français se moque du pangolin. L’insistance à jouer les Cassandre est jugée inopportune voire anxiogène. Personne ne veut savoir ce qui se passe dans l’Empire du Milieu, cela même si des médecins français s’en émeuvent déjà. 

On ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif ! 

Entre-temps à l’étranger, de l’autre côté de l’océan, un de mes enfants est très malade. Il a de la fièvre, une toux sèche qui n’en finit pas, la poitrine serrée et le coeur qui explose. A l’hôpital, il est mis sous oxygène en ambulatoire pour l’aider à respirer puis renvoyé avec quelques médicaments. Heureusement, il n’est pas seul. La famille l’entoure et s’en occupe très bien. Pourtant, il ne se remet pas vraiment. Je m’alerte de son état car je n’ai jamais vu une grippe donnant de telles douleurs dans la poitrine et des symptômes aussi bizarres. Il reste très fatigué et traîne une toux épouvantable. Quelques jours plus tard, c’est la rechute brutale avec retour à l’hôpital. A nouveau, un peu d’oxygène mais cette fois, il a droit à la grosse piqûre en plus et des examens complémentaires. 

En outre, la nouvelle du coronavirus dont il faut se protéger, vient d’arriver officiellement dans  le pays, il subit un petit interrogatoire sur ses déplacements… des fois qu’il serait allé en Chine ! Non, il est venu de France donc tout va bien… Il ne peut de toute façon avoir attrapé ce mystérieux virus d’après le médecin puisque seul à être tombé malade dans la maison. En Chine, ils crèvent par paquets de 12 et c’est la panique. Là sous l’Equateur, c’est impossible que ce soit autre chose que la grippe !

On n’en saura jamais rien. C’est encore l’époque où avec ou sans test, tout souci de santé n’est pas automatiquement diagnostiqué Covid selon la politique particulière à chaque pays. Et ici, le premier cas estampillé coronavirus SARS machin, ce sera quelques semaines plus tard.

Ce qui compte, c’est le résultat de la prise en charge ! L’injection carabinée d’antibiotiques permettra enfin l’amélioration de son état mais sans malheureusement supprimer la fatigue et une toux intermittente. En parallèle, la situation dans le monde change si vite qu’il aura intérêt à montrer une bonne mine aux pandores pour monter dans l’avion du retour. Les médecins gantés et masqués veillent au grain, les douaniers qui fouillent sacs et valises des voyageurs qui repartent, se protègent avec la même vigilance. Quel contraste avec son arrivée dans un aéroport français ! Pourtant, à nos frontières, c’est déjà l’hécatombe en Italie… Face à une telle désinvolture, c’est la stupéfaction pour les uns et l’hébétude ravie pour les autres qui boivent les paroles du Caudillo français. Celui-ci leur a annoncé que le virus n’a pas de passeport. CQFD, cela ne sert à rien de fermer les frontières. Depuis le temps que de mauvais esprits lui disent justement qu’on entre dans ce pays comme dans un moulin, quelle parole de vérité ! Hourra, hourra ! Des mois plus tard, les grincheux se demanderont pourquoi les Français eux, ont l’interdiction de les franchir mais c’est une autre histoire… Autre ordre de Papa Botté : pas la peine non plus de fournir des masques, les gens sont trop bêtes pour savoir les mettre. Hourra, hourra encore ! Bien plus tard, on se demandera à l’inverse pourquoi le baillon est nécessaire en permanence sur le visage mais c’est une autre histoire…  

Et des histoires y’en aura que trop au fil des mois !  

 

  • MARS/MAI/JUIN 2020

Après avoir eu le bon goût de laisser le monarque français se divertir au théâtre, le coronavirus chinois a montré sa propre couronne. C’est l’apocalypse dès le lendemain ! Les informations venant des hôpitaux sont terribles. Coûte que coûte, il nous faut éviter d’y atterrir. Un petit tour et puis s’en va… Cette fois, le coronavirus laisse le temps au bon peuple de voter un dimanche ensoleillé pour le premier tour triste des élections municipales… La polémique enfle sur les dysfonctionnements du gouvernement. Dans le but louable de les garder en vie, celui-ci donne l’impression d’être acculé à imposer un confinement à presque tous les Français bien-portants.  Une vraie mère poule, notre Président mais cela semble insuffisant ou trop tardif !  Sous couvert de politique et de blouse blanche, les pulsions sadiques ou masochistes des uns et des autres s’expriment au grand jour ! Le syndicat des jeunes médecins touchés par la coronattitude, ira même jusqu’en Conseil d’Etat pour exiger plus d’emprisonnement encore. 

 

C’est un confinement total et absolu de l’ensemble de la population dont nous avons besoin, à l’instar des mesures déployées en Chine. » Le syndicat souligne que ne devraient plus être autorisées « aucune sortie, aucun contact interpersonnel extérieur au foyer ». Les internes réclament « l’arrêt strict de toutes les entreprises non vitales, des transports en commun, ravitaillement des familles au domicile par des personnels protégés intégralement et avec des masques FFP2 ».

https://www.legeneraliste.fr/actu-pro/coronavirus-des-internes-enjoignent-macron-dimposer-un-confinement-total

 

 

On s’est fait entuber !

Le confinement ne nous est pas tombé dessus comme le ciel sur la tête des Gaulois. Je l’ai réclamé à cor et à  cri. La société française l’a réclamé aussi de toutes ses forces y compris les politiques et les intellectuels (ceux qui ne manient pas la truelle mais le verbe pour gagner leur vie). Ces derniers, même les plus critiques à l’égard du pouvoir, ont servi au gouvernement  des idées en or massif sur un plateau préparé à l’avance dans le couloir par une servante écarlante. On ne le sait pas encore mais on vient de fournir la corde pour nous pendre…

Il est vrai qu’il n’a pas fallu longtemps pour que les critiques attendues, fusent de toutes parts : « Si cela se fait chez les voisins, pourquoi pas chez nous, bon sang de bonsoir et creugneugneu ! Et les frontières, merde, vous les fermez quand ? Punaise, où sont passés tous ces masques dont nous avons tant besoin ? Vraiment, vous nous croyez assez idiots pour ne pas savoir porter un masque mais on se le fabriquera dans un slip s’il le faut ! » 

Le désespoir a saisi chacun d’entre nous et la réponse sanitaire de la dictature chinoise est devenue d’un coup, l’unique modèle à suivre dans de nombreux pays de par le monde. Les Occidentaux n’ont pas été les derniers à s’en inspirer avec enthousiasme. Les donneurs de leçon n’ont rien à envier au Président Xi Jinping  le héros que l’on se doit d’applaudir… 

Sauf qu’en France par exemple, on a gardé le pire et laissé de côté l’efficacité !

 

Drama

Confiner sans tester et sans soigner avant l’arrivée dramatique en réanimation, est une décision si débile que la fronde s’organise peu à peu. En effet, le Château a  ordonné que les médecins ne devaient prescrire que du Doliprane. Cette injonction défaitiste venue du Politburo, c’est la triple peine pour les gens privés de leurs droits les plus élémentaires mais on explique plus ou moins durement aux contestataires qu’en ces temps de crise, le désespoir est de rigueur. 

C’est un chantre de la liberté, un député européen connu pour son goût de la révolution en carton, qui lance le mouvement « fermetagueule ». Les médias le soutiennent avec application. 

L’heure est à la communion avec l’Impérator, omniscient par nature. Celui-ci se cache pourtant derrière son petit doigt : un « conseil scientifique », un comité d’experts dont il a lui-même nommé les membres mais pas un seul spécialiste des coronavirus, pas un seul des pandémies dans cet aéropage… Ah mais si finalement car avoir travaillé sur « Les médias sociaux en période d’épidémie », c’est tout comme pour l’un d’entre eux. 

Quant à celui qui aurait pu raisonnablement éclairer la lanterne de Caligula, il a préféré ne pas se compromettre ! Le désormais célèbre chercheur français de renommée internationale : celui aux cheveux jaunes qui pendent et à la grosse bague au doigt, est parti en claquant la porte et a expliqué pourquoi très honnêtement. Malheureusement, on explique au bon peuple qu’il est judicieux de s’intéresser à son coiffeur, surtout pas à son travail. La presse qui ne survivrait pas sans subventions généreuses, nous abreuve de nombreux articles immondes à son sujet. Une telle surenchère dépasse l’entendement ! Enfin non,  inventer une polémique afin de vendre du papier, c’est là un début d’explication. Sans compter tout ce qui a trait aux sponsors de la presse écrite et des médias sur la toile, et c’est affligeant ! Concernant la télévision et les radios, c’est pratiquement la catastrophe, le plualisme est mort depuis longtemps. Entre Soros surnommé « le maître des marionnettes » et Gates certainement aussi doué pour s’en payer un sacré lot, la boucle est bouclée. 

 

                                                          

Conseil de guerre et démocrature

Seuls les experts « élus » par le fait du Prince, ont le pouvoir de susurrer à son oreille ce qu’il aime entendre. Quelques observateurs s’en offusquent et parlent de lobbying ou de dictature sanitaire imposée par des médecins mais personne ne sait qui souffle à l’oreille de qui, en réalité… 

Il apparait aux yeux de beaucoup que ces personnalités certainement expertes dans leur domaine, servent de caution à un « conseil scientifique » qui n’en pas vraiment un. Un packaging pour un produit au nom d’emprunt  puisque les membres ne sont pas nommés par les pairs et qu’il n’y a pas confrontation des données… contrairement à ce qui se passe dans la vraie vie côté scientifique ! Avec la création supplémentaire d’un comité d’analyse : le Care auquel on ajoute quelques ministres triés sur le volet, il suffit de soupoudrer un peu de secret et de prétendre à l’équivalent d’un « Conseil de guerre » pour Matamore ! C’est parti pour la grande pantalonnade !

D’un coup de baguette magique, plus rien ne transparaît des « discussions ». Le Conseil Constitutionnel est parti aux fraises. Les ministres deviennent inutiles, le Parlement n’est qu’une chambre d’enregistrement.  Le Sénat dort les yeux ouverts pour faire croire qu’il bouge encore. 

En fait, bien avant l’arrivée officielle d’un nouveau coronavirus, les remparts de la démocratie s’étaient écroulés sans un bruit. Urgence sécuritaire et sécurité sanitaire se tiennent la main…

Un petit exemple :

Si les Français s’inquiètent d’une pandémie en 2020, on peut signaler le « professionnalisme » des protecteurs de la nation dès  le 05 décembre 2019 grâce à une proposition de loi dite « de sécurité sanitaire » permettant le « signalement et la prise en charge des personnes contact ou infectées« , des « mesures d’éviction et de maintien à domicile des personnes non malades ayant été en contact avec une ou plusieurs personnes atteintes d’une maladie transmissible« , des « mesures exceptionnelles d’isolement contraint« … et tout ceci au nom de la lutte contre les vilains moustiques ou  maladies transmissibles dont la liste n’est pas définie.  

Gouverner c’est prévoir ! Les anti complots ont les yeux révulsés et la bave aux lèvres  mais qu’ils se rassurent, il n’y a aucun complot :

 

https://www.senat.fr/leg/ppl19-180.html

 

https://www.senat.fr/dossier-legislatif/ppl19-180.htm 

http://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b2661_proposition-loi
 
 La majorité des médias en bons commis du pouvoir, joue à fond son rôle de joueur de flûte de Hamelin, et nous voici tous en ordre de marche derrière. Je ne suis pas la dernière. Je refuse d’écouter ceux très rares qui disent que la liberté perdue, ne se retrouve jamais. J’ai le tort à l’époque de m’en tenir à la seule hypothèse d’une incompétence générale difficile à gérer, et cela même lors de la bête tirade : « nous sommes en guerre » du premier acteur de France. 
La brutalité des amendes étant dans la droite ligne de la répression méchante à l’encontre des Gilets jaunes, je m’en désole mais ne la trouve pas surprenante. En revanche, la mise en scène chaque soir du décompte des morts et « blessés » (ceux hospitalisés) du Coronavirus, me fait dresser l’oreille. 
Truffe au vent, je renifle l’odeur nauséabonde de la propagande. Je ne suis pas la seule ! Des critiques différentes émergent…
                                                                   

Le grand confinement 

D’abord, on se précipite pour dévaliser les magasins afin de se préparer à un long enfermement. Ce réflexe de bon sens (on ne sait de quoi est fait l’avenir) est conspué par les cigales n’ayant jamais connu la guerre. « Moins on sort, moins on est susceptible de se faire contaminer alors autant faire le plein » répliquent les fourmis ayant vu des films de zombies. Le problème, c’est le stock dans une société où trois jours, c’est déjà le futur lointain. C’est la panique et la faute en revient toujours aux mêmes : les « salauds » de pauvres n’ayant que l’argent pour empiler des rouleaux de PQ et des bouteilles de Coca. Pour l’heure, chacun essaie de vivre l’emprisonnement comme il peut. Ceux qui le vivent mieux avec congélateur rempli et jardin à disposition, sont comme d’habitude, les plus enclins à expliquer aux autres ce qu’ils doivent faire. Nul besoin de  les rémunérer ! Ils font gratuitement office de caisse de résonnance aux médias, lesquels servent la soupe préparée dans les cuisines du Château. 

De temps en temps, il faut laisser échapper la vapeur avec quelques boucs émissaires. Ils sont faciles à trouver ! On pointe du doigt les vilains du bitume et du béton, ceux des cités qui n’ont pas la décence de rester sans broncher entre quatre murs. En fait, on les jalouse car ils n’ont pas de contraventions contrairement à nous… On ne réclame pas la liberté, on veut qu’ils soient punis comme « tout le monde », c’est ça l’égalité dans une société qui se pétainise doucement…

 

                                                              
 2020, l’année du moutruche !

Si 2020 est toujours l’année du rat dans l’horoscope chinois, c’est en réalité celui du moutruche dans l’ An I du coronavirus. Le moutruche est un petit hybride entre le mouton et l’autruche. Avec le temps, cet animal qui est paradoxalement assez fécond, s’est transformé en espèce à part entière. Il a été étudié récemment au Québec par Amélie Paul, spécialiste du rire « controversé » ou « complotiste » (qui n’est pas le rire consensuel de bon aloi agréé en santé publique). 

On croyait l’espèce décimée en France après la Deuxième Guerre Mondiale. Il semble en fait que le moutruche se soit très bien caché jusqu’à ce que les conditions politiques permettent à nouveau sa prolifération aujourd’hui. Bien que mignon tout plein – il a l’air d’une petite peluche doudou – cet animal est extrêmement dangereux. En effet, sur sa fourrure pullule un type particulier de bactéries adorant grignoter le cerveau. Il ne faut surtout pas le caresser sous peine d’être atteint par un syndrome d’imitation du moutruche. On se met alors à quatre pattes et l’on court à la recherche des moutruches et leur berger. C’est un besoin primaire essentiel car le moindre bruit nous fait plonger au sol. Le réflexe est trop épuisant. On ne l’atténue qu’au sein du troupeau, entouré par les chiens de garde qui protégent le sommeil des moutruches. Il n’y a pas de traitement. La guérison dépend du système immunitaire. Le syndrome du moutruche peut toucher à vie ou ne durer que quelques jours. La littérature signale de nombreuses rechutes néanmoins. 

 

A la sortie du confinement, tout esbaudi d’avoir survécu au coronavirus  et au tintamarre des casseroles à 20 h chaque soir au balcon pendant deux mois, le moutruche de nature a remercié son gouvernement de l’avoir gardé en vie et a continué à se plier avec ardeur à toutes les absurdités réclamées par les chiens de garde du berger

A l’inverse, le moutruche d’imitation (non ce n’est pas un pléonasme), a commencé l’inventaire dès qu’il lui a fallu faire le choix par exemple entre la plage « dynamique » lorsqu’il voulait se baigner et la plage « statique » réservée seulement à la viande posée sur une serviette. 

Profiter du « monde d’après » sans avoir l’impression d’être parqué au milieu des veaux promis à l’abattoir, lui a semblé impossible. 

Néanmoins, il a continué à espérer en des jours meilleurs. « Ils vont faire le bilan de ce qui a marché ou pas et rectifier le tir, c’est forcé. C’est le boulot du gouvernement », s’est-il dit alors plein d’espoir en un monde rationnel !

Malgré trois plans « pandémie » successifs dont le gouvernement en déroute, n’a pas tenu compte, on pouvait miser à cette époque sur son incompétence. Notre Président avait d’ailleurs annoncé la couleur lors de  sa campagne électorale en revendiquant son immaturité et son inexpérience deux ans auparavant. 

Ailleurs, tout le monde n’a pas été nul cependant. Un exemple ci-dessous :

Covid-19 et hydroxychloroquine : le Maroc et l’Algérie recadrent l’OMS 

https://www.afrik.com/covid-19-et-hydroxychloroquine-le-maroc-et-l-algerie-recadrent-l-oms?amp

 

                                                                      

Infos et contre-feux !

Pour les noyés sous l’information et la contre-information à chercher au milieu des sites sur les petits hommes verts ou le protocole de Sion, il y a toujours le choix plus simple et moins fatiguant de s’en remettre à l’autorité du chef. Surtout lorsque les moteurs de recherche sur internet proposent à l’unanimité la même tambouille sur les vingt premières pages ! 

L’expertise des journalistes, laquelle ici est synonyme d’action contre-feu, devient un travail à part entière et le phénomène prend de l’ampleur. Pas une seule nouvelle forcément fausse qui ne soit « débunkée » comme on dit dans la profession de lèche-bottes !  

L’astuce quand il est impossible de la « démonter », consiste à nous « expliquer » pourquoi elle est mal comprise. Nous en avons un exemple fameux ci-dessous. Il y écrit qu’il est faux de croire que les laboratoires pharmaceutiques seront dégagés de toute responsabilité à propos des effets secondaires pour les vaccins Covid-19 fabriqués en urgence… Bla bla bla… Dix lignes, c’est déjà trop ! Ouf, on arrête la lecture de l’article pour reprendre son feuilleton sur Netflix ! 

Cela fait une sacrée différence lorsqu’on insiste sur le fait que l’U.E est obligée de mettre la main au porte-monnaie afin d’aider les entreprises pour le dédommagement des futures victimes. CQFD ! Puisqu’il est possible de porter plainte, il fallait donc comprendre que l’U.E payant à la place des labos, c’est bien la preuve que leur responsabilté est engagée, n’ayez crainte braves gens ! Au final que c’est bien la même conclusion impossible à contredire. Toutefois si ce sont les canaux officiels qui en parlent, on peut en conclure que tout va bien dans le meilleur des mondes. 

En résumé : des vaccins payés avec de l’argent qui ne tombe pas du ciel mais de la poche des contribuables. Idem des indemnités qu’il faudra donc régler aussi pour envisager la possibilité d’être indemnisé. On peut appeler ce solde négatif : un retour sur investissement mais à l’envers ! Et avec un pourcentage de pots cassés qu’il n’est plus besoin d’assumer financièrement en tant qu’entreprise ! Les victimes balayées sous le tapis de l’éthique au prétexte qu’elles auront la possibilité d’ester en justice, seront ravies. 

https://www.lci.fr/sante/vaccins-contre-le-covid-19-les-laboratoires-seront-ils-vraiment-decharges-de-toute-responsabilite-en-cas-d-effets-secondaires-2165265.html

 

Au-delà du scénario de 2020, je me remémore celui d’il y a dix ans avec le dossier très complet que l’on peut encore trouver par hasard ici  avec pour titre :

« Retour sur la pandémie grippale H1N1v de 2009 – version longue« 

dont voici un extrait qui deviendra le refrain de notre époque :

(..) Parmi les personnes qui argumentaient contre la vaccination en raison de la fabrication trop rapide des vaccins, il a été répondu, par les organisateurs de la campagne, que cette justification ne tenait pas. Aujourd’hui, on sait que la population a servi de cobaye, notamment concernant l’intérêt comparatif des vaccins adjuvés et non adjuvés. Entre autres, des cas de narcolepsie chez les enfants commencent a être signalés un peu partout en Europe.(..)

On a déjà oublié les victimes de la précipitation :

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/sommeil/narcolepsie-et-vaccin-h1n1-vers-des-indemnisations-record_913049.html

Les mêmes noms reviennent sans honte nous proposer un remake de la version 2009 mais sans rien laisser au hasard cette fois. Une seule faiblesse (on ne peut être excellent en tout) se remarque dans l’entreprise de discréditation des lanceurs d’alerte ou simplement des médecins qui souhaitent faire leur travail. 

La campagne mise en oeuvre en l’An I du SARS machin, témoigne de l’arrogance et de l’indigence des esprits. On se concentre sur la personnalité, l’apparence vestimentaire ou la religion des médecins et scientifiques contestataires qui ne disent « rien que des bêtises ». 

Il est vrai que nos journalistes sont aussi de grands professeurs de médecine sachant dénoncer l’imposture partout où elle se trouve… Leur méfiance à l’encontre d’un médicament à trois francs six sous, prescrit sans problème depuis plus de cinquante ans à des centaines de millions de personnes, n’a d’égale que leur confiance démesurée à l’égard d’un autre plus récent, très très cher et aux effets secondaires avérés. Un objectif : trouver des couillons qui applaudissent et reprennent en coeur un narratif imposé avec la formidable impression d’y avoir réfléchi tout seuls comme des grands. Un bulot ne peut se défendre contre l’abus de télévision ! Des mois plus tard, tandis qu’il vantera encore le deuxième, celui-ci sera pourtant formellement déconseillé, et cela de façon officielle. Bizarrement, il n’y aura aucun mea-culpa au sein des docteurs émérites des salles de presse !  Coronavirus : le remdevisir recommandé pour l’Union européenne (msn.com)

Les vilains complotistes avaient pourtant prévenu de quelques légers conflits d’intérêt.

L’important étant d’avoir acheté une camelote à prix d’or (plusieurs milliards), alors le cirque médiatique peut se terminer :

Finalement, le 20 novembre 2020 l’OMS confirme, sur la base de plusieurs études, que le remdesivir « n’est pas conseillé pour les patients hospitalisés pour le Covid-19, quel que soit le degré de gravité de leur maladie, car il n’y a actuellement pas de preuve qu’il améliore la survie ni qu’il permette d’éviter d’être placé sous ventilation artificielle »

 

Interlude : main molle sur la laisse...

  • JUILLET/AOÛT/SEPTEMBRE 2020 ( Partie 1)

On persiste à ostraciser toute volonté de traiter. Les médecins les plus combatifs réclament seulement la liberté de prescrire. En dépit de la mauvaise série sur ce qu’il est convenu d’appeler « le protocole Raoult » avec ses défenseurs et ses détracteurs acharnés au point de faire perdre toute crédibilité aux revues scientifiques, le peuple panse ses plaies et essaie d’oublier le temps d’un été. Et pourtant, il ne se passe pas un jour sans qu’on lui promette une deuxième vague. Les masques font partie du paysage. On en trouve partout sur les visages, par terre sur les trottoirs et dans les fossés en campagne… 

La vie paraît cependant devenir normale malgré une inquiétude en arrière-fond. C’est le bruit des bottes que l’on entend dans tout l’Occident ou presque mais il faut avoir subi la dictature pour y être sensible. Des déracinés à cause de la guerre (Algérie…) aux descendants de réfugiés ayant fui un régime autoritaire (Espagne, Italie, Chili…) il n’y a pas si longtemps,  ceux-là sont capables de reconnaître certains signes putrides, c’est inscrit dans leur ADN. c’est inscrit dans le mien ! La majorité des autres moutruches ayant vécu dans la sécurité, préfèrent toutefois se cacher les yeux et se boucher les oreilles. 

C’est la rentrée avec les enfants masqués à l’école… Le monde a changé comme on nous l’avait promis sauf pour les lits d’hôpitaux dont la suppression a été maintenue malgré le discours officiel rassurant. De cela, on n’en aura pas parlé pendant l’été. C’est à l’automne que le bilan implacable sera fait !

Interlude : main dure sur la laisse...

  • JUILLET/AOÛT/SEPTEMBRE 2020 (Partie 2)

Les injonctions contradictoires ont repris de plus belle en septembre sans compter le cluster par çi et le cluster par là, on nous prépare pour terminer l’année en beauté ! Les files d’attente pour se faire tester, se sont allongées grâce à la gratuité annoncée pour cet examen. Les malades avec ordonnance, grelottent parfois mais côtoyent tout de même dans la rue, les hypocondriaques et les futurs voyageurs obligés d’avoir leur sésame en poche… Nul besoin d’une application pour recenser d’éventuelles contaminations ! Après trois heures à faire ensemble le pied de grue dehors, ils sont tous devenus des cas contact sans le vouloir y compris ceux ayant un simple rhume un peu carabiné… On voudrait que le virus se muliplie qu’on ne ferait pas mieux ! 

Puis tout s’accélère, la bataille des chiffres reprend de plus belle avec son nouveau lot de mesures abscondes. Les critères justifiant de sonner le tocsin, changent au gré des messages à faire passer. Le petit jeu pervers de la communication néronesque est une machine bien huilée. Des soignants en panne cruelle de moyens comme tous les ans à cette époque depuis des années, apportent de l’eau au moulin. On nous a assuré qu’un autre confinement était inconcevable mais déjà, on l’évoque dans les médias. 

Ce sont de vraies Pythies puisque Caligula revient – c’est un hasard- sur sa propre affirmation lors de sa réponse à la question convenue d’un cire-pompes : 

« Le confinement, on n’a jamais fait mieux depuis le Moyen-Âge » (sic). 

De tels propos sont glaçants de la part de quelqu’un qui se prétend « en marche » ! Dans toute notre Histoire, cela n’est jamais arrivé de confiner tout un peuple. Même durant la dernière grande épidémie de peste, les gens non atteints avaient le droit de circuler. Isoler et soigner, c’était ce qui se faisait au Moyen-Âge et jusqu’à récemment. Les ruines des léproseries et des hôpitaux de fortune (ou conçus pour durer mais transformés en musées), sont encore visibles sur nos îles de France et d’Outre-mer. Les bien-portants n’étaient pas emprisonnés alors. Aujourd’hui, la Covid-19 n’est pas équivalente à la peste… ni même à la grippe de 1970 ! 

Nous envoyons régulièrement des satellites en orbite autour de la terre, nos progrès médicaux sont fantastiques et le matériel est plus performant. Et pourtant, on passe parfois toute une journée à attendre aux urgences pour une prise en charge par défintion… urgente. Les lits à l’hôpital disparaissent, les déserts médicaux grandissent, les jeunes médecins deviennent des employés de la Sécurité sociale à laquelle ils rendent des comptes y compris dans les protocoles de soins dont ils ont du mal à s’exonérer. Le médecin de famille disponible à toute heure, a pris sa retraite remplacé par un technocrate qui ausculte les malades uniquement sur rendez-vous et qui va prendre goût à la télé consultation. Il y a beaucoup à dire sur le système de santé détruit peu à peu… mais le résultat est déjà accablant à la moindre épidémie de grippe ou de gastro !

 

                                         

Le décompte macabre du printemps : enfin chiffré ?

En 2020 au printemps, des gens sont morts seuls chez eux pendant le premier confinement pour divers motifs, quelques uns parce qu’ils souffraient de la Covid-19 et qu’ils n’avaient que du Doliprane à disposition. Consigne avait été donnée de leur dire de rester chez eux et de ne pas les tester ! Ailleurs dans les hôpitaux ou les EHPAD, le comptage n’a pas toujours été plus efficient car il aurait alors fallu autopsier tous ceux qui n’avaient pas subi de dépistage, une démarche peu supportable pour les familles notamment !

Néanmoins, les chiffres sont clairs : il y a bien eu une surmortalité et c’est bien dommage de ne pas en savoir plus malgré des outils performants. Ce ne sont pas des complotistes mais des adeptes du « en même temps » qui  constatent ci-dessous que le comptage a été « fin » sans qu’il soit possible de donner un bilan précis. Entre « sous-estimé » et « surestimé », soyons fiers de nos chiffres :

Peut-on affirmer à partir de ces enquêtes que la France (comme la Belgique) a mieux compté que les autres pays ? Oui, répond Michel Guillot, de l’Ined : «La proximité des deux sources peut être considérée comme un indicateur de la fiabilité du comptage, même s’il est normal que les deux sources ne se rejoignent pas totalement. Par rapport à d’autres pays, le comptage a été plus fin en France.» Sans, pour autant, qu’il soit possible de donner un bilan précis. Dans son étude publiée le 22 juillet, Santé publique France considère que le nombre de morts du Covid, entre début avril et fin mai, se situe entre 25 000 (l’excès de mortalité, qui sous-estime probablement le bilan du Covid, selon Santé publique France) et 30 000 décès (le bilan officiel des morts du Covid en hôpitaux et Ehpad, susceptible, lui, d’être surestimé, selon Santé publique France)

 

La réponse viendra plus tard en novembre mais on n’en fera pas la publicité ailleurs que sur les réseaux vigilants comme ici sur Covidinfos.net :

C’est dans le cadre de la commission d’enquête à l’Assemblée Nationale sur la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement que le député LR Jean-Pierre Door a auditionné le mercredi 04 novembre Olivier Véran.

Voici une des questions posées au ministre à cette occasion : “Que pouvez vous me dire sur la surmortalité invisible (cancer…) qui est occultée par la Covid-19 ? On a des certificats de décès que j’ai pu constater, des personnes très âgées, qui sont décédées, marquées Covid-19. Or, il n’y a jamais eu de COVID-19 chez ces patients. C’est le médecin qui a marqué ça, on ne sait pas pourquoi. Il y a une surmortalité qui existe dans les certificats médicaux.”

Et voici ce qu’à répondu Olivier Véran : “En EPHAD, s’il y avait un cas Covid dans l’EPHAD, et donc il y avait une épidémie identifiée dans l’EPHAD, et qu’un décès était suspecté Covid, on l’identifiait et on le reconnaissait comme Covid, on ne faisait pas de PCR post mortem si c’est votre question ?”

“Par contre s’il y avait quelqu’un qui mourrait d’une autre cause, d’un cancer, ou d’une autre pathologie et qu’il n’y avait pas de suspicion, ou lieu de suspecter un COVID, il n’y avait pas indiqué COVID…”

Source : Covidinfo.net
 

 

Suspicion n’est pas raison !

Mr Véran précisant lui-même qu’un cas Covid, c’est une épidémie identifiée, et ne pouvant être qualifié de « personnalité controversée », de « complotiste » voire de « charlatan » ou de « conspirationniste »,  (dix crans au-dessus de « conspirateur »), il ne faut pas s’étonner que selon qu’on y « croit » ou qu’on n’y « croit » pas, on peut attribuer à ces données une signification distincte. D’aucuns soutiendront sans preuve que le confinement aura évité les tombereaux de morts prévus, personne ne niera une légère surmortalité temporaire qui sera attribuée à « l’effet Covid »,  d’autres s’étonneront en plus de la disparition de la grippe par exemple et donc de ses effets attendus comme chaque année, et relèveront l’âge avancé d’une population. Les médecins scrupuleux s’en tiennent aux courbes sans faire des conclusions hasardeuses si celles-ci sont impossibles. 
 
Les politicos dinguos, s’en servent eux pour asseoir leur autorité jouissive. Il y a grande dégueulasserie que d’alterner des messages contradictoires, et de façon sybilline en plus. On menace et on rassure tour à tour parfois dans une seule journée. La « circulation du virus » est mesurée attentivement ainsi que la saturation des services de réanimation. Comme prévu, ces deux « indicateurs » ne peuvent que nous plonger dans l’effroi… Rien n’est mis en perspective y compris les chiffres des décès « ordinaires » en EHPAD chaque jour avant l’arrivée de la Covid-19.  D’autre part, au regard de la faillite assumée des lits d’hôpitaux, le confinement paraît un mode de gestion trop commode.
 
De même, les réseaux sociaux sont scrutés dans le but de prendre la température du mécontentement ou de l’acquiescement de la population selon des outils spécifiques.  C’est la chasse officielle aux « fake news » avec un gros marteau qui s’abat souvent sur des moustiques. La traque est à sens unique. On dénonce pêle-mêle de fausses rumeurs avérées et nuisibles, des erreurs d’appréciation somme toute bien humaines ou des avis divergeants. Le délit d’opinion s’installe. De vraies informations sont aussi censurées
                                                              
Des chiffres et des chiffres
 
D’autres chiffres se font attendre par rapport à l’arrêt de la prise en charge des malades « habituels » et des morts éventuelles consécutives, des diagnostics en retard et des opérations suspendues durant le confinement. Concernant les chiffres pour les suicides, les faillites et l’augmentation du nombre de pauvres, qu’on les ait ou pas, tout le monde s’en moque. Quant à connaître l’origine du virus SARS machin,  toute personne normale serait curieuse car il est évident que c’est important. Hé bien non apparemment  ! Malgré l’histoire de la chauve-souris et du pangolin largement abandonnée, il importe seulement de faire taire un Prix Nobel en le ridiculisant et tant pis si ce sont des pucerons qui se moquent d’un géant  ! Le public si peu compétent en la matière, se contentera des réfutations au vernis scientiste et c’est le seul enjeu qui compte dans le narratif officiel. On célèbre la liberté d’expression mais elle n’a jamais été autant malmenée dans tous les domaines y compris celui de la science.
 
Pendant ce temps, la terre tourne et des chercheurs cherchent parce qu’aucune hypothèse n’est interdite dans la vraie science. Cependant, aucune publicité sera faite au trop sérieux journal du CNRS quelques mois plus tard :
 
Et certainement que d’autres hypothèses s’ajouteront encore car si on ne connaît pas l’origine du virus, sait-on vraiment s’il est parti d’un marché de Wuhan et quand objectivement ? Poser des questions, n’est en rien une démarche complotiste mais il faut inlassablement le rappeler. La preuve toujours : 
 
 ou ici :
                                                               
                                                                                                                                          L’étau se resserre !

 

Les discours martiaux se multiplient et l’on promet au petit peuple, une bonne fessée car les « cas » augmentent ! C’est sa faute si les touristes étrangers ont pu se répandre dans tout le pays durant l’été tandis que les Français, eux-mêmes n’avaient pas le droit de se déplacer partout dans le monde. La situation semble échapper à tout contrôle car « on » ne s’en tient plus du tout au comptage des personnes décédées et celles dites suspectes (ou testées confirmées) pour le coronavirus, au sein d’un service de réanimation. 

« On » préfère répertorier tous ceux qui sont reconnus « positifs » par rapport au nombre total de tests, il n’est pas nécessaire de tomber malade. Et que je le sois ou pas, on ne vérifiera dans mon nez que la présence supposée du coronavirus incriminé. Si celui de la grippe s’y promène aussi, tant pis ! Idem du rhinovirus… En outre, il est assez difficile de se faire une idée quant à la progression du coronavirus d’un pays à l’autre lorsque chacun décide dans son coin de la sensibilté de ses tests PCR. Leur fiabilité est remise en cause de façon pertinente à propos de la charge virale : un indicateur important afin de prévenir les complications (la Covid-19 n’est pas anodine). L’on s’obstine pourtant à ne pas entendre ceux qui souhaitent une harmonisation quant au cycle d’amplification. 

« Asymptomatique » désigne un malade qui s’ignore et qui diffuse le virus. Un malade qui s’ignore et qui ne tombe jamais malade, est-il un malade ? Je n’ai pas la réponse. C’est à nouveau la danse de l’info et de la contre-info qui redémarre comme dans la chanson de la chenille interminable avec en prime, la cabale forcenée contre l’hydroxychloroquine, l’arbre qui cache la forêt de toutes les autres possibilités thérapeutiques, elles aussi mises sous le boisseau. Deux partis s’affrontent sur le sujet. Indépendamment de l’efficacité supposée ou non de cette molécule dans le traitement de la Covid-19, son interdiction inique (et fort opportune) met en avant un grave problème, en principe un scandale d’Etat en démocratie mais nous sommes en démocrature, nous n’avons que nos yeux pour pleurer. « Les antibiotiques ce n’est pas automatique » non plus dans le cadre de la Covid-19 mais cela ne le devrait-il pas dans certains cas ? Combien d’entre nous, après trois jours de grippe, passons automatiquement à la phase « antibio » afin d’éviter un voile au poumon, un mois plus tard ?

Quant aux tests de dépistage et masques :

https://www.cnews.fr/videos/france/2020-09-07/coronavirus-le-test-pcr-remis-en-cause-995737

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/10/13/les-quatre-erreurs-majeures-d-une-video-qui-minimise-la-crise-du-covid-19_6055889_4355770.html 

 

Les décodeurs obligés bientôt de décoder le Monde lui-même :

https://www.youtube.com/watch?v=GRv4nFxpBp0&feature=emb_title

Quelle que soit la polémique, elle ne tarira pas. L’enthousiasme par exemple des « décodeurs du Monde » à vouloir défendre une position à laquelle, ils ne peuvent pas plus prétendre que leurs « adversaires » du camp du mal, les amène au bord de l’abîme. Nous le constatons avec cette tirade alambiquée au sujet des masques. Loin d’apporter une explication claire, le statu-quo officiel est préconisé :

(..) Autre exemple : le port du masque. La communauté scientifique en plébiscite quasi unanimement le port dans les lieux clos, études à l’appui. Sa généralisation en extérieur continue en revanche de faire débat, parce qu’une partie des spécialistes estiment que des mesures de distanciation physique peuvent suffire. Mais cela ne remet pas en cause le fait que le port du masque contribue à limiter, bien que partiellement, la diffusion du virus.(..)

En fait, la série sur l’utilité du port du masque comporte quelques feuilletons où les protagonistes retournent plusieurs fois leur vestes avec certitude et sans débat :

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-vrai-du-faux/qu-a-exactement-recommande-l-oms-ces-derniers-mois-concernant-le-port-du-masque-par-le-grand-public_4034233.html  

Le « vrai du faux » commence sérieusement à m’agacer quand il s’agit d’une pratique sans nuance propre au mouvement « fermetagueule ». La réalité est plus prosaïque concernant la position officielle de l’OMS, mieux vaut alors se référer directement aux « conseils relatifs au port du masque » :

  • Il n’y a pas lieu de porter un masque médical en l’absence de symptômes, car rien n’indique ‎que le port d’un masque de quelque type que ce soit protège ceux qui ne sont pas malades. ‎L’usage veut toutefois que le masque soit couramment utilisé dans certains contextes ‎culturels. En cas d’utilisation, il est essentiel de suivre les meilleures pratiques pour le fixer, ‎l’enlever et le jeter et de se laver les mains après usage‎ (voir les conseils relatifs au port du masque).
  •  

Port du masque !

C’est étonnant vu sa capacité à pédaler dans la choucroute mais au moins sur ce sujet, l’avis de l’OMS est clair et documenté à de nombreuses reprises y compris en s’aidant du Lancet, une revue prestigieuse il y a quelques années (c’est de l’ironie). Ne faut-il pas se méfier quand dans les médias, l’on rapporte la déclaration (officieuse) de tel ou tel membre de l’Organisation Mondiale de la santé dans le but d’alimenter la machine à clic sur internet, les polémiques stériles sur les plateaux de télévision… ou pour accréditer la dernière décision absurde d’un gouvernement qui propose de porter son masque au restaurant entre deux bouchées de nourriture ?

Mazette, tout y est dans cette actualisation de l’OMS mais rien sur le port du masque au restaurant, à la maison ou comment avoir les moyens financiers nécessaires au port du masque de façon correcte (un seul dans la poche pour la journée voire la semaine ou le mois, à présenter aux pandores, c’est suffisant au regard de la politique de répression seulement).

méta-analyse de 172 études observationnelles menées dans 16 pays et sur six continents 

Groupe consultatif stratégique et technique sur les risques infectieux (STAG-IH),

https://www.un.org/fr/coronavirus/articles/recommandations-port-du-masque

 

 

Avec désormais le masque imposé aux enfants (tour à tour vecteurs et pas vecteurs du virus), nul doute qu’en découlera une floppée d’études avec la conclusion d’une utilité dans  certains « contextes »… Ce qui fera encore avancer le Schimblik en laissant libre cours à l’interprétation des gouvernants. 

Je sais pertinemment que la population (y compris moi-même) est dans l’impossibilité totale de porter un masque de manière réellement efficace toute une journée. Les gens ne sont pas idiots ou irresponsables, leur quotidien n’est simplement pas un bloc opératoire très bien ventilé durant un temps déterminé, et sans effort physique important à produire. 

Si l’on souhaite des précisions sur le port du masque, plutôt que de perdre son temps à lire des articles à sensation ou de propagande, et tout ramener à une soi-disant controverse entre les pro et les anti, il semble plus utile de se renseigner auprès de ceux qui en portent tous les jours dans leur profession. 

https://www.reinfocovid.fr/comprendre/questions-reponses/masque

 

Ni pro ni anti masque : le Docteur Eric LORIDAN,  chirurgien, nous donne un éclairage sur les bonnes pratiques quant au port du masque

Vos vidéos – Le Collectif REINFO COVID

 

                                                                                          

La moutruche et le masque !

Un bilan positif au printemps car le masque est devenue une protection surprenante contre les pollens, ce fut un peu plus agréable de se promener même s’il a fallu continuer à éviter certaines espèces d’arbres. Par contre, les maux de tête et la suffocation à cause de la chaleur en été, ont rendu impossible le protocole décrété par certaines communes très rigides. Avec l’automne, l’obligation généralisée du port du masque en tous lieux, s’est avérée extrêmement nocive. Nez qui coule ou nez bouché, c’est au choix depuis que je manque d’air en extérieur ! Sans compter les moments où je suis prise d’une toux d’irritation le soir. J’ai l’impression d’avoir avalé des kilos de poussière et d’acariens. Pourtant, je change de masque à chacune de mes sorties. Je n’ai pas attrapée la Covid-19. Du moins, je n’ai pas encore présenté ses symptômes mais je suis en train de m’empoisonner à petit feu d’autre chose : le port du masque obligatoire !  

Moutruche consciencieuse (la peur du gendarme) ou plutôt simplement habituée à l’autonomie pour évaluer un risque raisonnable, même durant l’été, j’ai porté un masque lors de chaque sortie pour faire des courses au milieu des vacanciers français et étrangers remplissant les supermarchés, idem dans les rues bondées (enfin presque). Que la mesure soit inutile ou pas, c’était sans compter les nombreux lavages de main dont j’avais déjà l’habitude ainsi que le nettoyage des provisions. Sans être une maniaque, c’est quand même grâce à cette routine (et à un peu de chance certainement) que jusqu’à présent, il n’y a jamais eu de cafards sur le bateau par exemple. Bref, ce sont deux pratiques constantes pour les populations très au fait des mesures d’hygiène élémentaires sous d’autres latitudes mais inhabituelles sous certains cieux d’Europe dont la France.

Dans un monde où toute personne rencontrée est potentiellement porteuse du virus meurtrier, lorsqu’on vous répète à longueur de temps qu’il n’y a aucun traitement pour la Covid-19 et qu’il faut attendre un vaccin, vous comprenez qu’ on ne veut pas vous soigner mais vous piquer à la Saint Glinglin, il ne vous reste plus qu’à essayer de ne pas tomber malade. Ce n’est pas une position antivaccinale car les vadrouilleurs sont obligatoirement vaccinés contre tout un tas de maladies telle celle de la fièvre jaune par exemple. Son vaccin n’est cependant pas anodin et le calendrier vaccinal à son sujet, a notamment changé. 

Que penser alors d’un vaccin conçu en six mois au lieu de cinq ou dix ans et avec une technique inédite : arn messager !  

Selon le principe de précaution appliqué scrupuleusement au port du masque, je propose qu’il soit administré sous contrôle d’huissier à tous les participants et membres du groupe Bilderberg depuis trente ans, aux directeurs successifs du FMI et de la Banque Mondiale, à tous les directeurs et employés des laboratoires pharmaceutiques ayant produit ces vaccins, aux membres de l’OMS dont ses généreux donateurs, à tous les députés et commissaires européens, à tous nos journalistes, nos propres députés et sénateurs, gouvernement inclus, plus bien sûr le chef de l’Etat et son épouse, sans oublier la famille de chacun d’entre eux dont les enfants et petits-enfants. Tous les suiveurs conquis à cette idée de se faire piquer, sont invités sans hésiter à les accompagner au centre de vaccination le plus proche. Ce test grandeur nature à faire sur deux ou trois générations, devrait nous permettre d’y voir plus clair ; à défaut, le grand reset tant attendu par certains aura réussi mais pas dans le sens prévu. 

http://www.economiematin.fr/news-reset-lagarde-crise-systeme-effacement-dette-monnaie-ruine

Concernant le respect de la distanciation physique, je n’y ai pas plus dérogé depuis le début de l’arrivée officielle du coronovirus. Cela n’a jamais été une soumission aveugle envers une propagande d’Etat. J’ai appliqué encore et encore le principe de précaution, une posture courante pour qui vit en bateau. D’autant qu’il fallait (et faut toujours) une grande vigilance pour des membres fragiles de ma famille. Vu le cafouillage (apparent) au plus haut niveau de l’Etat, c’était le moindre des maux par rapport une situation sanitaire impossible à déchiffrer. 

Le stress permanent étant nuisible, l’esprit humain sait naturellement le combattre. 

Lorsque par l’intermédiaire du journalisme de propagande, le gouvernement porte l’accusation de complotisme dès que la doxa officielle est contestée… il y a deux façons essentielles de réagir.

Par lâcheté ou/et manque d’éducation, beaucoup cherchent alors une figure paternelle de remplacement et s’installent dans le déni. Ce réflexe de survie a permis à une grande partie de la population française de s’accommoder des discours et mesures prises par le gouvernement de Vichy puis d’applaudir et de danser à la Libération. Le moutruche de nature a du mal à s’assumer, et en plus, il a une capacité de mémoire limitée.

Le moutruche d’imitation n’est pas plus intelligent que le moutruche de nature. Par contre, il accepte le stress au lieu de chercher à s’en débarasser. C’est sa façon de fonctionner et ne peut en changer. Il n’a aucun mérite, il est né ainsi. Cette capacité lui permet de remplacer un stress par un autre dès lors qu’il se met à raisonner. Forcément, ses yeux se décillent tôt ou tard. Dans une situation de crise, il ne veut pas être « rassuré », il souhaite comprendre. Au milieu des moutruches en panique et persuadés de « comprendre » tout autant, sa démarche est perçue évidemment comme « complotiste », « controversé » et cetera. Toutefois, il sait bien qu’accusation sans argumentation, ne vaut pas tripette ! Il se détourne alors et devient indifférent aux discours des Véran, Castex, Macron, médecins à l’éthique vérolée et tutti quanti. Sans les médias pour en faire battage, ces acteurs seraient inaudibles sur le plan scientifique. En réalité, la pièce de théâtre au titre aguicheur : « Covid-19 », n’attire que les cruches et les moutruches de nature… C’est trop facile alors de faire croire à un succès. Le crapaud se veut pourtant plus gros que le boeuf. Il gonfle, gonfle comme ses décrets… et arrêtés. Le masque est symbolique de cette volonté de toute puissance délirante.

En effet, le port du masque a été imposé aux femmes qui accouchaient, aux enfants dès 6 ans à l’école, très recommandé à la maison, obligatoire en extérieur même si la distanciation physique est respectée et que l’on se trouve dans un parc, une forêt ou une rue vide… Il ne reste plus qu’à le rendre indispensable pour le hamster ou le chien de la maison lorsqu’il fait sa promenade et la boucle est bouclée ! 

Contraintes de porter un masque durant leur accouchement, certaines femmes dénoncent une forme de violence obstétricale.

https://www.franceinter.fr/parentalite/port-du-masque-pendant-l-accouchement-des-femmes-temoignent

A l’occasion du 2ème confinement, le conseil « scientifique » nommé par E.M. impose le port du masque chez les enfants à partir de 6 ans. Cette mesure est contraire à l’état actuel de la science et peut entraîner des complications médicales.

http://www.economiematin.fr/news-confinement-masque-ecole-maltraitance-science-medecine-covid-delepine

 

(..) C’est un vrai objectif social de laisser nos enfants à l’école. En revanche, il faut que quand ils rentrent à la maison ils gardent le masque », a ainsi déclaré dimanche dernier sur BFMTV le médecin et ancien directeur de la Santé, William Dab. 

Une étude américaine sur la cellule familiale

Quid des repas de famille? « On n’est pas obligé de manger ensemble. (..)

https://www.lejdd.fr/Societe/covid-19-faudra-t-il-bientot-porter-le-masque-a-la-maison-4003854

Ben voyons, chacun dans sa bulle ! Si une étude concluait que marcher à quatre pattes, est nécessaire pour se protéger et protéger les autres du coronavirus, il se trouverait un docte docteur Knock pour réclamer une mesure en ce sens. Beaucoup n’hésiteraient pas à s’y conformer. La surenchère sanitaire fait peur tant elle ramollit le cerveau. En effet, il y a toujours un papier pour justifier l’impensable et des —- pour en discuter sérieusement ! Sauf que là, tous les moutruches d’imitation décrochent car le discours est trop aberrant. L’ingénierie sociale bien pensée, évite plutôt la caricature. Ici, elle est trop grossière pour ne pas être remarquée. Le salut vient des psychiatres, pas assez entendus dans cette histoire de Covid-19, et pour une raison simple…

“Culpabilisation, conditionnement, mensonge…” Le Dr Badel dénonce des “techniques de manipulation mentale dignes des régimes totalitaires”

https://covidinfos.net/covid19/culpabilisation-conditionnement-mensonge-le-dr-badel-denonce-des-techniques-de-manipulation-mentale-dignes-des-regimes-totalitaires/2002/

 

Est-ce bien raisonnable de nous traiter comme des rats de laboratoire afin de mesurer notre degré de soumission à l’autorité ? 

Dans les pays où l’on ne punit pas le peuple, le masque est porté sans crispation parce que les citoyens savent que s’ils étouffent ou se trouvent dans un lieu extérieur non bondé, ils pourront l’enlever sans risquer une amende. Ce sont eux qui décident ! Si tous ne sont pas masqués – parce que tous ne sont pas des infectés de la peste en puissance – cela ne les empêche pas de se laver les mains plusieurs fois par jour… Dans ce cas là, peu importe que la pandémie soit terminée ou qu’une deuxième soit en route, ils adhèrent depuis toujours à quelques réflexes de bon sens afin de s’éviter une gastro ou une grippe. Se laver les mains avant de se mettre à table, avant et après la « petite ou grosse commission » : une évidence pour beaucoup de générations d’enfants éduqués correctement ! En France, des affiches sont nécessaires pour le rappeler.

 

En Europe et d’autres endroits du monde : d’un outil de précaution dont on connaît les limites mais servant à se rassurer un peu (placebo = point positif) à un moyen de répression (nocebo = point négatif) grâce à une amende forfaitaire conséquente, le masque est désormais le symptôme d’un problème politique et pas du tout sanitaire.

                                                  MASQUE EN SANTE PUBLIQUE

https://www.reinfocovid.fr/comprendre/questions-reponses/masque-en-sante-publique/ 

 

  • OCTOBRE/NOVEMBRE/DECEMBRE 2020

Moutruche en révolte ! 

« Il a osé… »

Partout, à nouveau, la rhétorique utilisée pour nous faire accepter un deuxième confinement, est apparue. Le temps de nous imposer un couvre-feu pour mesurer notre usure et nous voici repartis dans la case prison d’un coup de dé mais avec un bonus : l’obligation de travailler pour certains, de se pendre pour d’autres ! On promet à ceux au bord de la ruine, un passage express dans la case : « vous avez gagné quelque chose de l’Etat ». Le Collectif des pendus (commerçants, artisans, indépendants) ne s’y est pas trompé. Ce gouvernement vampire qui hypnotise et promet de raser gratis, nous affirmera dès l’année prochaine qu’il n’est pas coupable de l’effondrement économique du pays. Et il nous expliquera comment se serrer la ceinture afin d’être tous solidaires face à la catastrophe…. économique. C’est la démonstration à l’échelle mondiale de « comment créer un problème pour y apporter la solution ». On n’a pas retrouvé le pangolin à l’origine de ce grand merdier mais sa copine oui. La chauve-souris ayant déféqué il y a des centaines d’années sur l’épaule de Nosfératu, avait préparé son plan de façon minutieuse :

  • OCTOBRE/NOVEMBRE/DECEMBRE 2020                                               

Rage et colère !

Il n’y a rien à attendre de nos parlementaires, de nos sénateurs, de nos juges… l’ogre a avalé tous les contre-pouvoirs. Les rares qui résistent, n’ont plus de souffle. 

Du côté des artistes les plus présents sur les plateaux et toujours prompts à nous éclairer sur le monde, il y a les acteurs confits de dévotion envers la main qui les nourrit ainsi que les chanteurs nous abreuvant de chansons mièvres à la gloire des soignants pendant le premier confinement mais jamais quand ceux-là sont gazés en blouse blanche ou gilet jaune. On peut difficilement  attendre un sursaut car les rebelles d’opérette n’apprécient que les causes convenues. On leur a donc coupé le sifflet, on ne les entend plus. Finies les tirades et les petits poings crispés !

Du côté de ce que l’on appelle « les partis d’opposition », c’est la critique ordinaire sur l’air de « j’aurai pu faire mieux » sans  remise en cause de la démocrature. Celle que l’on nous présente comme le Croquemitaine à chaque élection présidentielle y va aussi de son couplet sur le vaccin tout comme le représentant des écolos ou notre philosophe national aux lunettes agressives mais qu’on a connu plus lucide. « Vaccin, vaccin » crient-ils tous ! C’est fort justement le motif de notre enfermement pourtant. « Point de vaccin point de salut ! » nous rabâche Mr Bill Gates, notre ministre mondial de la Santé et grand défenseur de la liberté d’expression avec notamment 4 millions de dollars offerts au journal « Le Monde ». Il préconise « aucun rassemblement » tant que la piquouze ne nous sera pas administrée et tant pis si cela dure six mois ou un an de plus.

 

Ce serait dommage de nous libérer et que l’on s’aperçoive qu’il n’est nul besoin de toutes les doses promises. Surtout si entre-temps, c’est la Covid-20 puis 21 qui se seront abattues sur nous tous sans trop de dommages.

Nombre d’intellectuels sont tombés à pieds joints dans le piège Covid mais une phrase d’ André Compte-Sponville devrait nous interpeller :

« Je préfère attraper la Covid-19 dans une démocratie que de ne pas l’attraper dans une dictature ».

Mon petit bémol à cette belle phrase : 

j’ajoute qu’il est tout aussi possible d’attraper la Covid-19 dans une dictature… Nous en avons eu la preuve ! Comme le dit Scully : « le problème n’est-il pas ailleurs ? » 

Malheureusement, la bouffée délirante collective n’épargne presque personne :

 La bouffée délirante collective de la covid-19 

par Thierry Guourvénec, pédopsychiatre (23/10/2020 sur Agoravox)

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…. Journal d’une moutruche triste :

Ce matin, je remarque un couple en train de marcher énergiquement, c’est leur façon de faire du sport dans ce petit bout de parc désert. Ils ont chacun leur masque vissé sur le visage et enchaînent les tours pour arriver à faire un maximum de distance dans la limite imposée d’une heure de sortie quotidienne, et dans un rayon d’un km à vol d’oiseau de leur domicile. J’ai pitié d’eux tant la situation est digne d’une expérience de Milgram. Ont-ils oublié d’enlever leur masque ou est-ce une excroissance de leur visage comme dans les films de monstres ? Quand vont-il s’étouffer dans leur propre gaz carbonique ? Il n’y a aucun danger à se promener au milieu des arbres. On croise uniquement des écureuils mais le pli est pris comme on dit… Moi-même, étant une moutruche rigoureuse, j’ai bien rempli mon Ausweis avant de venir jusque là. Le néolibéralisme avait supprimé les caissières de supermarché, la démocrature nous oblige à remplir notre propre autorisation de déplacement. On n’arrête pas le progrès !

Tout va bien  cependant… !

Je rentre à la maison -ce n’est pas ma maison, ma maison c’est mon bateau et j’ai raté l’occasion de m’enfuir de mon pays que j’aime tant mais où tout le monde est devenu fou à lier – je m’installe pour regarder les coureurs du Vendée Globe qui font leurs petites vidéos en mer (un exercice obligatoire). Les « hérissons » écrasés sous les coques de ces bolides, sont judicieusement nommés « ofnis ». Combien cette année ? Glissons sur des sujets moins clivants… C’est passionnant, on s’y croirait… mais je n’y suis pas ! Je vis ma vie par procuration car je n’ai pas le droit de naviguer. Tous les bateaux sont confinés au port. Seules les mouettes ont une autorisation dérogatoire. Et dire que nous étions heureux de rentrer en France pour changer notre mât, serrer nos amis dans nos bras, faire des bisous à notre famille chérie et les inviter tous à nous rejoindre ailleurs le temps d’une escale ! Cet ailleurs nous est interdit aussi car les Français qui ont le droit de débarquer d’un avion, sont en revanche des pestiférés s’ils arrivent avec leur voilier après plusieurs jours de mer et donc malgré une quarantaine parfaite ! C’est le monde entier qui devient maboule d’une façon trop bien synchronisée. Cela commence avec un vaccin puis un passeport vaccinal pour circuler en plus du passeport habituel puis pourquoi pas un contrôle technique tous les deux ans avec une étiquette que l’on nous posera sur le front bien visible… mais je m’égare certainement ! Quoique… Combien de juifs se sont alarmés et ont pris la poudre d’escampette juste avant la dernière guerre mondiale ? Paf, j’ai atteins mon point Godwin, le fameux moment où je devrais avoir honte de comparer ce qui n’est pas comparable ! Cette acusation est absurde ! 

Ah bon ?

Après Noël… Barbier veut interdire à ceux qui ne seraient pas vaccinés d’aller au restaurant, au théâtre ou de prendre l’avion… – Vidéo Dailymotion

Covid-19. Hénart propose de « distinguer la liberté de circulation » des vaccinés et non vaccinés | Lorraine Actu

 L’un compte un grand nombre d’abonnés qui boivent ses paroles saintes, l’autre est un élu donc on imagine bien le soutien dont il bénéficie. Ils sont combien à penser comme ces deux là ? La peur rend con et c’est une affection psychiatrique contagieuse…

C’est horrible ! J’ai l’impression de vivre dans un asile à ciel ouvert. Malheureusement, le monde s’est rétrécit depuis 1945 et il n’y a pas d’échappatoire...

 

Bilan

L’an I de la Covid-19, pain béni pour la recherche en psychologie, n’aura été qu’une longue torture pour tout esprit ordinaire obligé de lutter contre le syndrome du moutruche. Rappelons-nous qu’en multipliant le total des chaussettes de l’archi-duchesse par le nombre de ses robes déja sèches, on nous avait prédit  64000 morts en mars dernier alors encore un effort s’il vous plait pour tenir les délais en France. C’est la bataille des chiffres… En plus ou en moins, saurons-nous un jour ? On peut en douter ! Surtout quand la seule issue pour faire disparaître ce maudit virus qui est plus qu’une « grippette », c’est uniquement la promesse d’un vaccin… On nous rappelle tous les jours que l’U.E a déjà passé commande (sans s’attarder sur le fait qu’elle a signé à notre place une décharge pour les effets secondaires d’un produit fait à la va vite). D’ici là, il faudra confiner, déconfiner et expliquer que c’est la faute aux citoyens irresponsables. Tout ceci a un air de déjà vu mais les conflits d’intérêts ont été éradiqués partout en Europe depuis la malheureuse histoire de la grippe A/HNN1. Quel soulagement ! 

En attendant, cela va être quand même difficile de nous maintenir au placard. L’action doit être coordonnée au-delà de nos frontières et il va falloir tenir sur la distance. Noël ou pas Noël ? Vacances de printemps ou pas ? Le nez sur le calendrier et le relevé de la banque, le moutruche de base déprime tandis que le moutruche de luxe décide de se mettre au yoga.

Le gouvernement établit sa liste de courses autorisées dites essentielles : il est possible de s’empoisonner avec un paquet de clopes directement au bureau de tabac mais à moins d’acheter par l’intermédiaire du virtuel, le petit dernier n’aura pas le droit de se vêtir chaudement cet hiver. Les doudounes attendent dans les rayons emmaillotés par des rubans d’interdiction comme sur une scène de crime. Il est prohibé d’acheter pour les enfants des jouets de Noël en magasin, à défaut on peut leur offrir un canard couineur en peluche destiné au compagnon à quatre pattes de la famille. Son rayon joujoux a échappé à la censure tout comme celui des plantes vertes. Les livres étant encore moins utiles depuis les émissions d’Hanouna et les JT de BFM TV, les librairies ont été fermées car feuilleter et flâner dans ce type d’endroit, est propice aux miasmes. L’Etat a promis d’offrir un ordinateur et un abonnement internet à tous les couillons (les personnes âgées et les pauvres ne pouvant s’endetter) souhaitant néanmoins acheter des bouquins. Idem de la musique. Euh non, c’est une blague ! 

En réalité, les librairies et les disquaires ont été transférés dans les bus et les wagons de métro (uniques lieux sains) afin de permettre au bon peuple de se distraire ou de s’instruire tout en se rendant au travail. Euh non, c’est encore une fake news !  

Nul besoin d’un Colin Powell agitant de fausses fioles d’Anthrax pour nous faire perdre la raison ! La grippe A/HNN1 n’avait pas tenu ses promesses, la peur de la Covid-19 a fait mieux que ce qui était attendu. La perspective de sortir sans une autorisation dûement remplie, est en train de devenir le plus grand crime qui soit.

https://fr.sputniknews.com/france/202011151044772436-le-prefet-des-bouches-du-rhone-regrette-que-les-trafiquants-naient-pas-dattestation-de-deplacement/

Je pense aux malchanceux se faisant décapiter mais avec le masque sur le visage, douloureux symbole ! Le  sens des priorités est assumé lorsque sont déployées les forces de l’ordre aux portes d’un supermarché afin de réclamer à tous les moutruches poussant un chariot, un laissez-passer en bonne et due forme. Gare à celui qui l’a oublié ou a coché la case « promenade ». Faire ses courses peut être un délit en 2020 ! Le délinquant a mis en péril le combat contre la Covid-19 ! Le soir même à cause de son insouciance, un malade décédera certainement en réa. Pour autant, le pécule des amendes ne sera pas investi dans un lit d’hôpital. Les larmes de crocodile, ont beau coulé lors de chaque allocution présidentielle, la politique est celle du monde d’avant. Il y a encore des infirmières sans blouse obligées de s’en fabriquer une avec un sac poubelle tandis que les tests PCR coûtent plus de 250 millions d’euros par mois à la sécurité sociale. D’autant que leur efficacité est sujette à caution. 

Les décodeurs obligés bientôt de décoder le Monde lui-même :

https://www.youtube.com/watch?v=GRv4nFxpBp0&feature=emb_title

 

Dans quelques mois, notre « sécurité sociale » ruinée sera un des motifs de grogne légitime de beaucoup qui réclameront de s’en désolidariser. Ils iront alors se jeter dans des bras qui ne demandent qu’à s’ouvrir. Comme dans un livre d’Agatha Christie, on se demande à qui profite cette mise en scène de la peur… Cela ressemble trop à l’enfumage d’un terrier de blaireaux dont la fuite n’est possible que par une sortie prévue par les féroces piégeurs. 

De même, les véreux de la médecine font mine de s’inquiéter de notre santé mais ne formulent aucun doute sur les vaccins inconnus dont les effets secondaires commencent à apparaître.

Inutile de se remémorer la dernière pandémie ayant mis le monde à terre ! D’autant que ce fut la même réponse partout :

https://www.revuepolitique.be/grippe-ah1n1-conflits-dinterets/

https://www.santelog.com/actualites/grippe-h1n1-et-conflits-dinteret-la-pandemie-gonflee-par-les-experts

http://www.plumedepresse.net/roselyne-bachelot-symbole-de-lirresponsabilite-politique-sarkozyste/

 

L’enjeu du masque est important car plus visible que le virus sur un coin de table ou la ruine de l’hôpital qui se poursuit méthodiquement cette année encore. Il faut taper et retaper sur le manque de « civisme » de la population et justifier ainsi l’emprisonnement des gens. Le « c’est la faute à tous ces gueux irresponsables », est-il vraiment crédible ? Beaucoup, piégés par leur idéologie et leur vote de confiance, se refusent toujours à envisager la faillite d’un système corrompu jusqu’à l’os.

Piqûre de rappel : Celui qui ne respecte pas les consignes est responsable de l’aggravation des consignes restrictives, de la poursuite de l’épidémie, de la mort de ses proches.

J’ai toujours été fâchée avec les chiffres mais quand le Colonel Moutarde affirme  400 000 morts sans ce deuxième confinement, je me dis qu’on a un sacré problème immunitaire par rapport aux vikings suédois. Par ailleurs, si le docteur Olive annonce la catastrophe avec une telle frénésie à l’Assemblée nationale, je pense à faire le chemin inverse des migrants africains car s’il y a bien un continent dont on ne nous parle pas, c’est celui-ci et il semble prometteur. On y rit de la France avec pertinence

                       Ah tiens, enfin un début de réponse !

https://www.lagazettedescommunes.com/697175/covid-les-mesures-restrictives-de-liberte-resistent-elles-au-test-de-proportionnalite/

Extrait :

(..) Quelles sont donc les statistiques de la mortalité en France ?

Les principales causes de décès en France sont 1) les tumeurs cancéreuses, 2) les maladies cardiovasculaires, 3) les maladies de l’appareil respiratoire, 4) les morts violentes (accidents, intoxications, suicides, homicides). En 2019, 612 000 personnes sont décédées en France. A ce jour, environ 31 000 décès sont attribués à l’épidémie de nouveau coronavirus en 2020, soit l’équivalent de 5% de la mortalité constatée en 2019.

Par ailleurs l’examen de la proportionnalité et de la nécessité des mesures de police administrative ne peut se faire sans un examen diachronique des données de mortalité toutes causes confondues. L’INSEE publie les données de mortalité qui font référence (voir les séries statistiques ici et ).

La comparaison des mortalités des années 2018, 2109 et 2020 indique que l’excédent de 2020 se concentre sur deux mois et demi : de mars à mi-mai. Depuis la mi-mai, la mortalité est similaire sur les trois années. Les effets de l’épidémie sur la mortalité sont donc terminés.

 

 

Sans oublier un outil indispensable à consulter tous les matins au petit-déjeuner avant de se risquer à sortir : GEODES

Au lieu de s’en tenir à la vente de produits répondant à tous points aux désirs de leurs clients selon le bon vieux principe du donnant/donnant, les plus retors des marchands (tous ne le sont pas) ont toujours tenté de modeler nos envies sans trop y parvenir jusqu’à l’arrivée d’outils plus modernes. Notre addiction les a propulsé si haut qu’une poignée de vendeurs de tapis (qu’ils aient fait fortune en vendant des logiciels, des réseaux sociaux ou des patates à prix d’or, c’est toujours la même démarche) est devenue si riche qu’elle peut financer et donc dicter ses ordres à de nombreux gouvernants si c’est jugé nécessaire. 

La mégalomanie progresse sans espoir de guérison quand elle ne se heurte pas à un contre-pouvoir. Nous en sommes là. L’Interprise endosse un nouveau rôle en se prétendant désormais garante du bien commun, et elle s’immisce dans notre quotidien même quand on ne l’a pas sonnée. Qu’un Bill Gates soit le premier donateur de l’OMS par l’intermédiaire de sa « fondation », et nous impose sa « vision sanitaire », ne relève pas d’une théorie du complot, c’est factuel. Il est en plus certain d’être le meilleur et de travailler pour l’humanité ! Et si c’était un autre à sa place (je n’ai rien contre Mr Bill Gates en particulier), la posture serait identique. Le problème vient du fait qu’il ne représente pas un pays mais lui-même. Quand les plus riches se piquent de « capitalisme altruiste » à leur façon si « efficace », c’est le monde qui change selon leur modélisation. Si on nous le permet encore dans le futur, on peut imaginer plus simple de voter pour Coca Cola ou Amazon plutôt que pour le candidat d’un parti politique quelconque. 

Le Grand Reset (ou remise à zéro ou Great Reset ou grande réinitialisation) occupe tous les esprits bouillonnants. On nous promet un avenir meilleur si on les laisse s’occuper de tout. C’est toujours la même histoire car la solution est apportée par un petit nombre de personnes persuadées d’avoir raison de manière générale grâce à leur position et leur portefeuille financier.

D’après les mégalomaniaques persuadés d’être les sauveurs du monde, et dans le sillage de ces grands prédateurs : les ripoux et les opportunistes au pouvoir de nuisance aussi néfaste, il est urgent de refaçonner le monde au vu des enjeux climatiques notamment. Après avoir nié l’accélération du réchauffement climatique, après l’avoir fichu en l’air ce « monde » justement, les pyromanes arrivent avec leurs propres extincteurs et nous parlent d’une société plus « solidaire » sur une planète où il fera bon vivre… Il est urgent d’applaudir sous peine de se voir taxé de complotisme. 

2020 est l’année où toutes les planètes se sont alignées dans une conjonction exceptionnelle qu’il ne faudrait surtout pas rater selon un système qui ne souffre aucune contestation. La Covid-19 serait donc une opportunité au lieu d’une calamité.

J’espère de tout coeur que c’est bien loupé au contraire ! Du moins pour ce type de fonctionnement vertical qui n’en finit pas avec l’esclavage des humains

Malheureusement, il me faut faire preuve de lucidité ! 

Ce que les « élites » appellent « Great Reset« , n’est que la continuation d’une politique de concentration de richesse et de puissance. C’est terrible de constater que la réflexion sur le sujet se remarque plutôt à droite de l’échiquier. Côté gauche, les lobotomisés sont déjà trop nombreux pour être en capacité de la combattre, et des idiots utiles de toutes les causes légitimes comme celle des animaux, de la lutte pour l’écologie ou contre les discriminations, lui apportent en échange de quelques miettes,  un soutien déraisonnable.

 
Nous pouvons apprendre à ne pas croire tout ce qui est dit ou montré à la télévision. Les techniques de manipulation dans ce domaine sont pléthore (voir par exemple sur Swiss Policy Research). extrait de l’article du docteur Badel.
Swiss Policy Research

https://swprs.org/les-faits-sur-le-coronavirus/#latest


Fin du journal d’une moutruche de mer – 

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Qu’en est-il d’une théorie du complot appliquée à la pandémie du Coronavirus ? 

Il faudrait imaginer l’envoi intentionnel d’un virus  à travers la planète par un petit groupe de personnes. Personne n’y croit hormis peut être les adorateurs  de la terre plate ou autres illuminés. En revanche, seuls les naïfs n’ont pas idée de ce qui peut découler de cette crise du Coronavirus fort opportune. Les lendemains qui chantent, n’existent pas, ce ne sont que rapports de force depuis que le monde est monde ! Quand les puissants se réjouissent d’un « Great Reset » et appellent ouvertement à la nécessité de « gouvernements plus forts et plus efficaces« , il serait temps que les moutruches se réveillent…

Doit-on en conclure que  « la vérité » est toujours produite par un organe gouvernemental ? Oui dans toute autocratie qui se respecte !

Sauf que l’esprit libre ne se complait ni dans le délire ni dans la soumission à la propagande. 

Aujourd’hui, toute personne remettant en cause un récit officiel, est cependant accusée de complotisme par l’intermédiaire des médias subventionnés, les seuls habilités à délivrer du contenu sensationnel propice en réaction. 

Dénoncer l’incompétence, c’est une démarche complotiste. 

Dénoncer l’abus de pouvoir, c’est une démarche complotiste.

Dénoncer la corruption, le népotisme, la connivence, c’est une démarche complotiste.  

Dénoncer un manque de démocratie, c’est une démarche complotiste.

Dénoncer l’influence des plus riches, c’est une démarche complotiste.

Dénoncer le neuro-esclavage, c’est une démarche complotiste.
 
Dénoncer… Dénoncer… c’est pas bien et c’est pas beau ! Dénonçons les dénonceurs et envoyons-les en camp de rééducation !
 
L’incompétence n’existe pas. L’abus de pouvoir n’existe pas. La corruption, le népotisme, la connivence n’existent pas. Nous vivons dans une démocratie extraordinaire. Les 1% plus riches de la terre travaillent pour le bien commun malgré les 6,9 milliards d’habitants veules et jaloux qui dirigent le monde. La domination d’une (fausse) élite grâce à des instruments juridiques, psychophysiologiques et économiques, n’existe pas.
…………………….
Si tout ce qui est dénoncé ci-dessus existe en réalité, on ne peut dire pour autant qu’il s’agit d’un complot au sens propre. Cela ressemble plutôt un système défectueux qui s’auto-alimente. Envisager cette théorie, est-ce une option de la liberté d’expression ? 
 
Du coup, le nouveau monde s’annonce pire que l’ancien. Il démarre d’ailleurs avec le massacre des limules !
 

La ruée vers l’or de 18 milliards de dollars du vaccin COVID menace les limules et l’écosystème océanique.

                         
COVID-19: La Grande Réinitialisation.

Comment lutter contre le "complotisme" ?

Empêcher au moins quelques dysfonctionnements trop visibles.
Ci-après, une liste non exhaustive : 

Ici, le problème n’est pas qu’il y ait des gens riches mais leur influence et le manque de contre-pouvoirs à opposer à ce monde de l’entreprise 2.0. Il ne s’agit pas non plus d’une guerre entre « les élites » qui gouvernent et le peuple. L’expertise compétente au service d’un pays et de ses habitants, a toujours été appréciée. Ici encore, dans cette crise de mauvaise gestion d’une épidémie (qui n’est pas une nouvelle peste), apparaissent en fait un haut degré de corruption pour les uns et une incommensurable bêtise pour les autres. Alors au hasard des propositions suceptibles de faire revenir la confiance des adeptes de la thèse « complotiste » (laquelle d’ailleurs ?), il est possible d’en retenir deux assez simples dans un premier temps. L’une serait d’obliger à une déclaration d’intérêts : toute personne invitée à « débattre » sur les plateaux de télévision ou studio de radio. Idem pour tout article écrit. Quant à l’opinion des exilés fiscaux sur ce qu’ils jugent bon d’imposer aux Français, le mieux c’est qu’ils la gardent pour eux… ils n’ont aucune légitimité. D’un point de vue médical, un examen psychiatrique n’est pas nécessaire, il appartient à chacun de se faire un avis sur les personnages non élus mais influents… 
 Trois exemples ci-dessous :  

Faire un effort pour être moins naïf

Ci-dessous, un éclairage intéressant, et une intelligence non destructive qui nous invite à la réflexion ! Attention toutefois à une phrase de Marlène Schiappa citée dans la vidéo. Bien que reprise partout, elle est fausse. Pourtant, elle provient très officiellement du compte Journal de l’Élysée qui se dit «parodique». C’est ainsi que certains s’amusent à fabriquer au plus haut niveau des fake news pour ensuite discréditer le discours des gens honnêtes qui la reprennent en toute bonne foi…

L’honneur d’un député !

Extrait de son discours à propos du documentaire : « Hold Up » :

(..) 

En tant que citoyen, républicain et élu, j’ai ressenti l’impérieux devoir de le relayer afin de vous donner la possibilité de réfléchir par vous-même, en conscience. A l’heure où je vous adresse cette publication, je découvre sur Facebook ce message d’alerte : « Avant de partager ce contenu, sachez que Les Décodeurs du Monde ont des informations supplémentaires sur le sujet. Les Pages et sites web qui publient ou partagent des fausses informations verront leur diffusion réduite et seront sous le coup d’autres restrictions. En savoir plus ».

Cela commence bien « censure, censure chérie, quand tu nous tiens … »
Jean Lassalle, député des Pyrénées-Atlantiques et président du mouvement Résistons!
Voici les quelques lignes qui précèdent la présentation du film par l’auteur :
« Vous sentez que quelque chose ne tourne pas rond ?
Vous avez l’impression qu’on ne vous dit pas tout ?
Il faut avoir le courage d’affronter la réalité, de la regarder dans les yeux.
Voici un lien vers le film Hold Up Intégral.
A partager un maximum pour le bien commun.
Ce film est censuré et subit la pression honteuse de notre gouvernement.
Nous devons tous savoir ce qu’on nous cache.
http://gofile.me/6MSVR/xaOB82OFv
Mot de passe : Reveillonsnous
https://tprod.fr/project/hold-up/

Prendre le temps de s'interroger...

L'histoire du Covid-19

Et pour terminer, un grand, un très grand merci au Collectif Citoyen et ses analyses pointues sur France Soir ! 

Surtout qu’il continue son travail salutaire…  

Quand la démocratie devient un complot… (francesoir.fr)