Au fait, la forêt brûle forcément à cause du réchauffement climatique ?
Surpopulation, surconsommation, malbouffe, pollution, rareté des matières premières ou de l’eau, maladies et virus pangolinesque de scénario catastrophe, changement climatique, chômage, fin de la retraite assez jeune pour en profiter un peu, culture de la dénonciation ou de l’annulation, haine entre les vaccinés et les non vaccinés, oppression des femmes sous couvert de religion, violence et séparatisme revendiqués au nom de la couleur de peau des uns ou des autres (pas de pitié pour les récents métis mis dans l’impossibilité d’appartenir à un camp), indifférence froide et calculatrice à l’égard de tous ceux qui n’étant rien, n’ont pas de Rolex à cinquante ans… trop longue est la liste des sujets anxiogènes ! L’esprit humain n’est pas fait pour supporter tant de mauvaises nouvelles doctement rappelées chaque jour par les médias. Le problème number one semble bien le réchauffement climatique à gérer. Si on crève tous à la fin, une réforme des retraites, on s’en moque un peu, non ?
Vous ne le pensez pas ? Quel mauvais esprit !
Selon son tempérament, chacun fait ce qu’il peut afin de garder un peu d’optimisme. Il y en a grand besoin pour survivre et faire encore des enfants en croyant à un avenir meilleur. Pour y arriver, certains trouvent plus facile de nier en bloc la réalité du monde tandis que d’autres se lancent dans la course aux solutions. Scrogneugneu, les vrais guerriers ne sont pas des attentistes !
Faut-il vraiment être optimiste quand beaucoup désireux de garantir notre avenir justement, courent comme des poulets sans tête.
Quelques uns sont peut être trop technocrates. Plein d’espoir, ils luttent contre vents et marées mais leurs propositions déconnectées de la vraie vie, n’engendrent que colère et prolifération légitime de gilets jaunes.
Quelques autres sont en plein délire scientiste pour ne pas dire transhumaniste, et imaginent un plan parfait dans un film d’horreur mais irrecevable (pour le moment) dans une société humaine au sens premier du terme.
Ces quelques uns et ces quelques autres, ont en commun une naïveté consternante voire une incompétence certaine. Pour autant, ils y croient à « leurs » solutions. Ce sont des sincères. Même la petite Greta Thumberg ayant grandi, a fini de haranguer les politiciens et préfère nous expliquer sans modestie ce qu’il faut faire avec tout le sérieux bagage qu’elle croit détenir. C’est peu dire qu’on ne manque pas de propositions !
Sont-elles assez réalistes et en même temps enthousiasmantes ? Le « en même temps » trouve ici ses limites. Sauf à croire que vivre dans le monde promis par les transhumanistes, c’est encore « vivre » ! La gestion policière et mafieuse du cheptel humain face à un nouveau virus, démontre s’il en faut, l’incurie de notre système. Il n’y a pas si lontemps, c’était la crise bancaire avec les mêmes aux commandes de la déroute financière pour les petits actionnaires et les fonds de pension.
Les poulets sans tête, en ont peut être une finalement !
En matière de « solutions » pour le climat par exemple, au vu des éloges dithyrambiques produites par les médias arrosés par la fondation Gates, que trouvons-nous dans le panier apporté par un grand humaniste à la fois soucieux de notre bonne santé et du réchauffement climatique ?

Le zéro carbone, c'est pour les dans-dents évidemment ! On se demande pourquoi l'auteur par l'intermédiaire de sa fondation, a tant investi par ailleurs dans des sociétes les plus polluantes ( Chevron, Total... )
PETITS PROBLÈMES D’ÉTHIQUE.
Les étranges placements de la Fondation Gates (courrierinternational.com)
Extrait encore d’une élogieuse homélie à la gloire d’un pauvre milliardaire bien obligé de posséder plusieurs jets (et deux Porches) afin de se déplacer :
« Bill Gates mène une vie modeste, il ne dépense pas beaucoup pour des « jouets de milliardaire », comme yachts, ou des voitures de sport.
Mais il possède une collection de jets privés, qu’il considère comme un outil professionnel indispensable. Gates utilise ses jets privés de manière intensive, principalement pour son travail pour la Fondation Bill et Melinda Gates.
Il possède 2 Gulfstream G650ER ‘s, 2 Bombardier
Challenger 350s, un Cessna Seaplane et une collection d’hélicoptères. »
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Et dire qu’il y a des gueux protestant contre les taxes en tous genres ! Les sans-dents expliquent qu’ils ne peuvent plus payer le carburant pour aller bosser eux-mêmes avec de vieilles bagnoles qu’ils considèrent comme « un outil professionnel indispensable » lorsqu’on habite dans la banlieue ou les campagnes. Toutefois la caste des connards s’en indigne. Les mécontents devraient dire qu’ils travaillent pour la Fondation Gates, un motif plus noble (et légitime) que celui de nourrir ses enfants. Quels égoïstes, ces gilets jaunes ! Aucun altruisme à attendre de cette populace des beaufs !
Comment leur faire comprendre qu’il y a des avantages à utiliser le vélo plutôt que la voiture ?
Certainement autrement qu’en vidant un peu plus vite le porte-monnaie des « gens qui ne sont rien » mais cela, les privilégiés ne peuvent l’entendre.
Oui mais… comment alors éviter un désastre lié alors au réchauffement de la planète ?
Une seule certitude à propos de la philantropie : les « solutions » des milliardaires présentés comme des génies en tout parce qu’ils savent brasser de l’argent, devraient nous inquiéter lorsqu’ils ne font qu’en gagner plus en se mêlant de climatologie.
Le climat, nouveau terrain de jeu des milliardaires (lejournalminimal.fr)
Et cela vaut pour tout… La question de l’eau par exemple, est un véritable enjeu. Selon le nouveau dogme promu par des entreprises sans scrupules, ce n’est pas un droit fondamental. Seuls ceux pouvant se la payer, devraient donc y accéder si l’on suit ce raisonnement jusqu’au bout. “Les ONG ont un avis extrême et souhaitent que l’accès à l’eau soit nationalisé, c’est-à-dire que tout humain puisse avoir accès à l’eau. L’autre vision, c’est que l’eau doit être considérée comme une denrée. Et toute denrée alimentaire doit avoir une valeur, un coût”. [Peter Brabeck-Letmathe, président du Conseil d’administration de Nestlé, dans le documentaire We feed the world, 2005].
Malgré un enthousiasme toujours élogieux personne de sensé ne croit un seul instant que Bill Gates trouve génial en réalité de boire de l’eau produite à partir d’excréments humains. Le financement de ce projet n’est pas à destination des milliardaires. Eux continueront à s’enfiler des litres d’eau de qualité qui coule naturellement.
De même, pour la nourriture du futur, le caca et l’urine deviennent un business plan considérable à destination des gueux. Les opportunistes se réclamant faussement du véganisme sont invités aussi à en profiter.
Pas de crise financière, pas de dévaluation ! Le coronavirus émergeant permet de s’octroyer de nouveaux profis avec le buisness plan de l’industrie pharmaceutique. C’est encore une idée brillante. Des flux d’argent sont transférés en toute légalité grâce à une création de dette colossale : un système qui fonctionne en circuit fermé.
Nous voici en marche forcée vers le transhumanisme censé sauver le monde… pendant qu’un enfant de moins de cinq ans, meurt de faim toutes les 11 secondes !
à suivre 2…