Cogiter sans s'agiter !
Vous mangez quoi en mer ?​

"Qu'est-ce que vous mangez sur le bateau ?" ou "Qu'est-ce que vous mangez alors s'il n'y a pas de viande ?" ou "oui mais en mer, on ne peut pas se contenter d'une feuille de salade !"

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 Pas de prosélytisme ici, seulement la démonstration qu’il est possible de bien manger… autrement que ce que l’on nous a appris. Je ne dirai jamais à quelqu’un que ce qu’il fait est mal au prétexte qu’il remplit son assiette avec autre chose que ce qui est dans la mienne. On ne peut convaincre que les convaincus ! L’évolution de l’humain montre sa grande adaptation sur le plan alimentaire. 

Les végés côtoient les « mangeurs d’animaux » depuis trop longtemps sur notre terre pour que l’on puisse croire qu’en traitant ces derniers d’assassins, leur conscience sur le sujet va changer. On peut être factuel et dénoncer l’hypocrisie, la souffrance… sur un plan général et faire son travail de colibri. Toutefois obliger quelqu’un à penser comme soi-même autrement qu’avec des moyens dignes du KGB, c’est impossible quand l’on veut rester digne. C’est pourquoi, je vomis l’antispécisme. Il est bien dommage que cette spéculation philosophique issue du mouvement utilitariste transhumaniste soit présentée comme une loi physique avec ses causes et effets. Il est encore plus dérangeant de constater chez beaucoup des défenseurs de la cause animale, la nécessité d’une telle caution faussement « scientifique » pour justifier leur démarche. Avons-nous besoin vraiment de classer le degré de sensibilté ou de capacité à souffrir de la palourde par rapport au cochon afin de savoir lequel des deux peut être mangé par l’homme ? De là, à choisir entre cochon en pleine santé et enfant handicapé, lequel des deux « mérite » d’être sauvé si péril imminent, la spéculation abstraite parée des atours de la logique, a permis une idéologie qui retourne le cerveau comme un gant à la manière du wokisme et autres « ismes » dévoyés.